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Tam ♥ dans mon monde à moi il n'y a que des poneys ils mangent des arcs-en-ciel et font des cacas papillon.

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one more night


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Tamara Genesis Cavendish

△ Si un mec fait comme s’il s’en fout de toi, c’est qu’il s’en fout de toi !  


Mon histoire a débuté le 9 février 1987, dans une lointaine contrée prénommée Windfall Lane, ce qui fait de moi un(e) américaine. Également d'origine anglaise, du coup si tu sais compter j'ai 27 ans. Si vous écoutez mon entourage il vous dira que je suis plutôt douce, franche, romantique, posée, mais malheureusement aussi jalouse, têtue, possessive, surprotectrice. Je sais bien que je suis canon, d'ailleurs quelqu'un m'a encore dit que je ressemblait terriblement à E. Clarke. Effectivement je suis un(e) mademoiselle. Ma vie amoureuse ? Et bien je m’intéresse beaucoup aux hommes et je suis célibatairement amoureuse, depuis quelques temps à savoir quelques mois. Pour ce qui est de ma magnifique vie professionnelle je suis en effet chanteuse. En conclusion, et après ce petit retour sur moi-même, je pense être groupe.



Let Me Guess Who You Are

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Mais qui es-tu ?


PSEUDOécrire ici. ÂGEc'est facultatif SEXEc'est facultatif OÙ AS TU DÉCOUVERT LE FORUM?écrire ici.  QUELLES SONT TES IMPRESSIONS?écrire ici. DÉSIRES TU ÊTRE PARRAINÉ(E)?écrire ici. FRÉQUENCE DE CONNEXION écrire ici.  UN DERNIER MOT?écrire ici.

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Dernière édition par T. Genesis Cavendish le Sam 22 Fév - 14:12, édité 2 fois
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△ J’ai entendu dire que quand on est perdu le mieux à faire c’est de rester où on est et d’attendre qu’on vienne vous chercher, mais personne ne pensera à venir me chercher ici.

"Avoir un bébé, c'est comme se faire tatouer le visage. T'as plutôt intérêt à y réfléchir à deux fois. " La vie aurait dû prévenir ses deux jeunes gens que d'avoir un enfant ça n'avait rien de parfait et beau comme dans les films. Mais malgré son très jeune âge Merry n'en avait que faire, elle voulait un bébé, quelqu'un qui aurait besoin d'elle, quelqu'un pour qui compter, un petit être qu'elle pourrait cajoler et aimer comme elle aurait aimé qu'on le fasse pour elle. Car c'était bien ça le problème à la base, Merry n'avait pas eu de famille idéale comme tout le monde en rêve, non au lieu de ça cette pauvre enfant avait dû passer de famille en famille sans que personne n'ai jamais de coup de coeur assez fort pour avoir l'audace et la gentillesse d'adopter cette petite fille. C'est pourquoi arrivé à dix-huit ans elle avait décidé de vivre sa vie, une vie d'adulte qui l’espérait elle ferait d'elle une personne responsable et aimé. C'est comme ça qu'elle avait rencontré Jonah. Il était plus vieux qu'elle et alors ? Il allait lui donner ce dont elle rêvait depuis toujours. Une famille. « Jonah, je suis enceinte. » Merry avait un sourire radieux sur les lèvres, ses yeux pétillaient de joie, tout en elle respirait le bonheur, la jeune blondinette attendait une quelconque réaction de son compagnon qui tardait quelque peu à venir. Beaucoup de questions traversait l’esprit du jeune homme de vingt-et-un an à cet instant. Voilà à peine deux mois qu'ils étaient ensemble et déjà elle tombait enceinte ? Alors, c'était un piège ? Et comment allait-il s'en sortir maintenant ? La colère s'empara de lui, la joie de sa petite amie le laissait vraiment de marbre. « Je suppose que tu as eu ce que tu souhaitais ? Donc, tu n'as plus besoin de moi maintenant. » C'était dit, il partait. Lui qui se sentait trop jeune pour assumer cet enfant, lui qui voulait profiter de sa vie avant que ce soit trop tard. Jonah ne rêvait que d'une chose, voyager, profiter et vivre, alors un enfant risquait vraiment de contrarier ses plans et ça il ne le laisserait pas faire.

"Reculer pour prendre de l'élan, pour pouvoir mieux sauter ; mais à trop reculer on finit par ne plus sauter. " Merry ne c'était pas vraiment laisser abattre, enfin les premiers temps du moins. Non, parce qu'il ne fallait pas oublier que malgré le fait que son compagnon l'ai quitté sans ménagement pour vivre sa folle vie de jeune adulte, Merry allait mettre au monde une merveilleuse petite fille dans quelques mois, enfin plutôt quelques semaines, il ne restait plus beaucoup de temps pour tout mettre en place. La jeune femme venait de trouver un petit appartement dans un quartier calme de Chicago. Elle avait tout préparé pour l'arrivée de son enfant, la petite chambre rose et blanche respirait la douceur et le bonheur. Tout ce dont Merry avait rêvé. Même si elle était seule, peu lui importait. Seulement tout n'allait pas se passer comme elle l'avait espéré. Voilà comment le bonheur de Merry c'est transformé en une sorte de cauchemar. J'ai pointé le bout de mon nez un jeudi matin. Avant ça il semblerait que ma mère en ai quelque peu baver. Vingt heures à souffrir avant que je ne me décide à sortir, que du bonheur n'est-ce pas, mais elle avait fait abstraction de tout ça, des douleurs, de la chaleur, de la solitude. Pour elle ce n'était que des détails maintenant que j'étais là. Les trois jours à l'hôpital lui ont sans doute semblé très longs, comme je veux bien le croire, lorsque personne ne vient nous voir, personne ne partage notre bonheur, comment ne pas trouver le temps long ? Mais une fois de plus elle faisait abstraction, tout ce qu'elle voulait c'était rentré et commencer sa vie de maman. Le lundi suivant cette nouvelle vie commençait vraiment pour elle. Malheureusement, Merry ne pensait pas qu'être maman demandait autant d'implication, de sacrifice et surtout de temps. La jeune femme se laissait malgré elle dépasser par les événements et complétement déborder par le bébé que j'étais à l'époque. Elle n'aurait jamais cru que tout compte fait, seule, ce n'était pas la meilleure solution. La fatigue la gagnait un peu plus chaque jour et ses nerfs lâchait pour un rien. Elle n'arrivait tout simplement plus à jongler entre son travail de serveuse et son petit amour. Que faire ? Abandonner son enfant comme ses parents l'avaient fait avec elle ? Ce serait sans doute la solution de facilité, mais Merry ce disait que si elle ne le faisait pas, la folie l'emporterait sans doute sur sa raison et elle pourrait alors, arriver à des extrémités qu'elle ne voulait pas atteindre. Alors, à son tour complétement meurtri et pleine de désespoir elle m'abandonna comme ses parents l'avaient fait avant elle. Ce n'était donc qu'un éternel recommencement.

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"Regarde dans ce miroir... Sais-tu ce que je vois ? Je vois une jeune femme ravissante, pleine d'assurance et d'énergie... Oh ! Tu es là aussi ! " La vie en orphelinat n'était pas si horrible qu'on puisse le dire. La directrice était assez agréable, intéressante et complétement tordu. Sa folie nous faisait rire. Depuis combien de temps était elle directrice de cet endroit ? Surement toujours. Elle ne possédait ni famille, ni amis, non elle n'avait que nous, alors, nous pensions que la "solitude" l'avait quelque peu déglingué. Pourtant c'était une femme d'une rare beauté, donc le narcissisme n'impressionnait plus vraiment par ici. Chaque jours elle s'enfonçait un peu plus dans sa vie si monotone. Malgré ça, nous l'aimions assez pour la considérer comme une sorte de mère. Enfin la vie était plutôt douce par chez nous. J'avais même réussi à me faire des amis, surtout ma "colocataire" enfaîte, avec qui je partageais tout. Il y avait cette alchimie entre nous, comme seul des soeurs pourraient avoir. Nous ne comprenions pas besoin de paroles, pas besoin de grand-chose enfaîte, nous nous étions trouvé. Molly était ma famille, celle que j'avais toujours voulu. Mais, il faut croire de ma vie tout prend fin à un moment ou bien n'était-ce qu'une illusion ? L'illusion du bonheur ? Peut-être qu'en fin de compte alors, je n'avait le droit qu'à quelques parcelles de bon moment. Jamais au vrai bonheur ? Enfin, tout à donc prit fin, un soir de janvier. Il faisait froid, la nuit était noire et la neige tombait avec abondance dehors. Accouder sur le rebord de la fenêtre, une source de chaleur intense me traversa le corps. Un demi-sourire se dessina sur mon visage et sans quitter des yeux le paysage je lançais la conversation. « Je ne veux pas être là demain Molly. » Je ressaierais autour de moi la grosse couverture que la petite brune m'avait apporté et fermais doucement les yeux. Nous venions de fêter nos six ans et la vie devenait de plus en plus cruelle. « Je le sais bien Tamy, mais tu vas quand même me dire au revoir, je ne pourrais pas partir sans t'avoir dit au revoir. » Je tournais alors, la tête et croisait le regard azur de ma meilleure amie, ma soeur, mon tout. L'envie de pleurer me bloquait la gorge, comment pouvaient-ils nous séparer ? Pourquoi ? « Évidemment. » Et c'est dans un sanglot inaudible que je serais la petite brune dans mes frêles bras. Le lendemain elle ne serait plus là et je serais seule à nouveau. Malheureusement, le lendemain arriva trop vite. « Ils m'attendent Tamy. » Je serrai la petite brune contre moi, me résoudre à la lâcher et la voir partir loin de moi ? Jamais. Pourtant, je le devais. Les éléments ne jouaient pas du tout en ma faveur, je n'ai jamais apprécié la neige, elle rend malade, donne froid et franchement entre le nez et les joues rouges, pas de quoi ce régaler. Nous étions dehors sous cette neige froide, qui me laisserai sans doute un bon rhume, mais malgré tout ça, je ne pouvais pas laisser partir Molly avec ses gens qui se disent être ses "grands-parents" et si ce n'était qu'une farce, si elle se faisait avoir ? Et si elle était déçue ? Comment le savoir ? Je ne serai pas avec elle pour la soutenir. Mais si au contraire elle trouvait ce qu'elle avait toujours voulu alors dans ce cas qui étais-je pour la retenir ici ? « Tu vas tellement me manquer Molly, rien ne sera plus pareil sans toi. » Je prenais donc la 'sage' décision de lâcher ma meilleure amie et rester là à la regarder partir, vivre sa vie. La vie dont nous rêvions tous.

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Let Me Guess Your Beautiful Story




△ Je préfère avoir connu... une seule bouffée du parfum de ses cheveux, un seul baiser de ses lèvres, une seule caresse de sa main que toute une éternité sans lui, un seul instant...

« C'est quoi ça ? » Je relevais la tête de mon petit bureau et fis face aux yeux incendiaire de mon boss. Bon d'accord, peut-être que la nuit dernière j'avais un peu fait du zèle, seulement ils savaient tous pertinemment qu'il ne fallait pas trop me chauffer. J'attrapais le petit dossier et parcourait rapidement le document. « Et bien, si je ne me trompe pas c'est un rapport quelque peu élogieux à mon égare. » Un souffle d’exaspération me fait sourire, il fallait avouer que mon chef était assez patient avec moi, mais j'étais comme ça, la provocation c'est mon petit plus. Alors, pourquoi monter sur ses grands chevaux, pas de quoi en faire tout un drame. « C'est un blâme Tamara, un blâme, le deuxième et ça ne fait que deux ans que tu es là. » Mmh et bien je me trouvais plutôt douée dans mon genre. Qu'est-ce que j'y peux si je ne supporte pas l'injustice ? Il faut bien que nos cours d’auto-décence et autre art-martiaux nous servent à quelque chose non ? Ils avaient encore de la chance que mon arme n'ai tuée personne. Quelle belle bande d'ingrats tout de même. « Tu ne peux plus bosser seule, je dois te mettre avec quelqu'un, voilà tu as tout gagné. » Cette fois c'était à mon tour de m'énerver et de souffler d’exaspération. Injustice.

"Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses. " « Noah. » Il me tendait la main et je le toisais. Pour qui il se prenait lui avec son air de premier de la classe, bien sous tout rapport. Comme je pouvais me tromper. Au final j'allais apprendre à mes dépends que Noah était aussi tordu que moi, voir pire. Un coéquipier, ils m'avaient assigné un coéquipier. Je ne voulais pas y croire, je ne pouvais tout simplement pas l'accepter, alors sans doute que je ne serais pas la personne la plus accueillante du monde...« Ouais c'est cool et moi c'est "je boss avec toi parce que j'ai pas le choix, alors lâche-moi." » Mon petit discourt le fit bien rire. Bon d'accord, il était plutôt pas mal dans son genre. Mais pas le miens, non définitivement pas mon genre, trop grand, trop baraqué, trop blond. Un ancien militaire à ce que j'avais entendu, tireur d'élite si je ne disais pas de bêtises, mais de toute façon, je m'en foutais comme de mon dernier string. « Une tête-brulée, j'adore les femmes qui ont du caractère. » Bien, de toute évidence je ne l'impressionnait nullement. Et bien nous allions au-devant de grandes aventures.

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Le froid me glaçait le sang, la nuit était tombée depuis plus d'une demi-heure maintenant, je courrais dans les petites rues de Windfall Lane sans savoir vraiment où aller. Mes jambes me portaient jusqu'à l'entrée d'un petit immeuble, d'environ six appartements, pas plus. Je connaissais très peu l'endroit et pourtant, je pourrais y venir les yeux fermer. Mon cœur battait la chamade, une sensation horrible me tiraillait les entrailles. Ma respiration ce faisait saccadé. Il ne me fallait que quelques secondes pour me calmer de cette folle course. Je montais doucement les quelques marches me séparant de la porte qu’inconsciemment je voulais atteindre. Il fallait que je lui parle, qu'il me réconforte, que nous passion la nuit à manger de la glace en regardant des films idiots. La porte était là devant moi, je n'avais qu'une seule chose à faire maintenant, frapper et attendre. Seulement je ne le sentais vraiment pas. Quelque chose au fond de moi me disait que j'aurais dû téléphoner, que venir à l'improviste n'était vraiment pas une bonne idée. Mais maintenant que j'étais là, autant aller jusqu'au bout. Alors, prenant mon courage à deux mains, je frappais sur la petite porte et attendais patiemment qu'il m'ouvre. Seulement tout ne ce passa pas comme prévu. La porte s'ouvrit, mais derrière ce n'était pas la personne que j’espérais voir. « Noah je vou...Callie ? » Mon coeur loupa un battement et une affreuse envie de vomir me prit à la gorge. Noah eu la bonne idée d'arriver au même moment, seulement vêtu d'une serviette de bain. Bien sûr nous n'étions que collègues, amis peut-être ? Alors, pourquoi avais-je cette soudaine envie de tuer la brune en face de moi ? « Désolé, j'aurais dû appeler. » Et sans plus de cérémonie je faisais demi tour. Je devais m'éloigner le plus vite possible. Enfaîte là, je ne pensais plus à rien. J'avais mal. Une voix me fit me retourner. « Tamy attends. » Attendre ? Pourquoi, je ne voulais pas entendre ce qu'il avait à dire. Les excuses bidons qu'il me sortirait. Après tout Noah était un beau garçon c'était indéniable. Il plaisait aux femmes. Que dire de plus. « Tam' écoute, ce n'est pas ce que tu crois. » Je l'arrêtais d'un geste de la main avant de parcourir les quelques centimètres qui me séparaient de lui. « Tu sais ce que je crois ? Je crois que tu as couché avec la nouvelle stagiaire, je crois que tu as pris le temps de prendre une douche après ça et je crois que tu as trouvé l'idée sympa de me rattraper pour te justifier de tout ça. Seulement tu es un grand garçon Noah et tu n'as pas à te justifier, nous ne sommes pas un couple et nous en serons jamais un. Je ne sais même pas ce que nous sommes. » Il me regardait assez interloqué. Il faut croire que j'avais plutôt bien cerné la situation. J'étais fatiguée, épuisée de n'être que la gentille copine, celle qui n'a que le fort caractère, celle dont on a peur, marre de n'être que moi-même. Dans un dernier geste de totale maitrise, je lui fis un sourire mélancolique sans doute et m'éloignais, loin de lui, loin de ce sentiment de frustration qui me compressait le coeur.

« Tu ne peux pas l'escorter seul et tu le sais alors, ne joue pas à ça avec moi Noah. » Seule la petite lumière du bureau nous éclairait, mais malgré ça la fureur se lisait largement sur mon visage. Depuis la fameuse soirée durant laquelle Noah m'avait une fois de plus prouvé quel homme à femmes il était, je n'étais que colère et rancoeur. Le ton de ma voix pouvait aussi aider à comprendre dans quel état je me trouvais en cet instant. Nos caractères si similaires n'aidait pas vraiment à garder notre calme. C'était bien ça le problème dans notre relation, nous arrivions à nous énerver pour un rien, nous poussant toujours plus à bout, seulement cette fois ce n'était rien d'anodin. Je tapais du poing sur la table, faisant sursauter mon collègue par la même occasion. « Noah, putain tu me fais vraiment chier, on parle d'un enfoiré de criminel et non d'un gamin de trois ans que tu dois ramener chez papa/maman. » Il ne me répondait pas, ce qui pour le coup m'énervais un peu plus. Des tas de documents soigneusement ranger sur son petit bureau me faisait de l'oeil depuis quelques minutes maintenant, alors, d'un geste vif de la main je les envoyais valser à l'autre bout de la pièce. Cette fois le beau blond réagit enfin, m'attrapant le poignet il m'approcha de lui, sans doute pour me calmer, seulement ça avait eu l'effet inverse. « Je le ferais sans toi Tamara, que tu le veuilles ou non. » Une envie violente de lui coller une gifle me pris, malheureusement Noah avait été plus rapide que moi et il avait arrêté ma main en plein vol. « Tu sais quoi, va en enfer. » Je le repoussais et sorti de son bureau. Il avait ce don incroyable de me mettre les nerfs à vif, de faire ressortir le pire en moi et pourtant vivre sans lui m'était tout simplement impossible. « Pas sans toi ma belle. » Il m'agaçait c'était indéniable.



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