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LOUPS : un incident dans le métro

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MessageSujet: LOUPS : un incident dans le métro LOUPS : un incident dans le métro EmptyJeu 22 Aoû - 0:32



Sujet Commun des Loups : Un incident dans le métro





22h48 : Sur la ligne, les lumières vacillent. L'électricité s'est brusquement coupé, amenant la rame de métro à s'immobiliser brusquement. Certaines personnes chutent, d'autre hurlent, d'autre encore ne savent comment réagir. Mais l'obscurité est soudainement violée par une légère lumière tamisée qui éclaire la scène … Mais le conducteur est silencieux, incapable de communiquer. Quand aux portes … nul besoin de s'y acharner elles sont définitivement bloquées. Alors … de quel côté serez vous ? Du calme, de la panique, de l'énervement ? Mais encore … ?

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MessageSujet: Re: LOUPS : un incident dans le métro LOUPS : un incident dans le métro EmptyJeu 22 Aoû - 0:35






Un voile sombre avait recouvert le ciel lorsque le soleil avait trépassé. La nuit dominait à présent, noirâtre, tel un présage obscur d'une poisse à venir et qui ne cessait de me frapper. D'un geste de rage, je cognais la voiture, frappant de mon pied contre le pneu non sans retenir un juron. Elle était tombée en panne à quelques kilomètres de mon immeuble, et de savoir qu'il me faudrait prendre le métro pour rentrer me rendait amère … tout simplement parce que je n'avais aucune envie d'abandonner ici bas ma voiture, contre le trottoir. Probablement aurais-je du me sentir soulager que des métros soient toujours en circulation. Jetant un coup d’œil rapide à ma montre, je fermais ma veste, empoignant le nécessaire que je glissais dans mes poches avant de marcher d'un bon pas dans l'obscurité. Mes pas résonnaient, non sans que je ne cesse de fulminer auprès de dépanneurs fermés ou occupés. Demain … il était certain que le paiement déboursé serait à la hauteur du nombre d'heure à les attendre … dans mon appartement cependant. Mes prunelles sombres parcoururent la rue silencieuse, que quelques personnes traversaient sans oser chuchoter. J'étais dans un quartier mal famé … en plus. Mes lèvres s'entrouvrirent, alors que je maugréais dans ma barbe, approchant de la station la plus proche. Des escaliers descendus, des marches dévalées. Tâtant mes poches, je ne trouvais aucune monnaie, et au comble de l'exaspération, je finis par passer au dessus des tourniquets, bondissant félinement la barrière. Être un flic ne me donnait peut-être tous les droits, mais j'avais la sérieuse tendance de tirer sur la corde. Alors, je m'approchais du quai, non sans glisser une cigarette entre mes lèvres. Mais je ne l'allumais. Elle contenait simplement ma frustration, intensifiée par un manque de sommeil alarmant. Elle m'obsédait. Me fascinait. J'étais fatigué de penser à elle, fatigué de fantasmer sur elle, fatigué d'en perdre le sommeil simplement parce que le désir me sciait. De plus, il me fallait gérer un enterrement que mon père n'avait prit en main, abandonné à un chagrin qui me mettait hors de moi. Voilà longtemps qu'il avait abandonné sa famille, du moins une partie, au profit de jumeaux que je n'avais pourtant jamais tenu responsable. Nous nous étions également éloignés, lui en voulant de cette vie imposée et maintenant … il était difficile d'avoir un dîner familial sans tension, en particulier lorsque Wen était dans les parages. Le métro arriva, se garant près du quai, et je montais d'un pas souple, avant de m'adosser à la barre grisâtre. Les portes se refermèrent sur les quelques personnes présentes. Il me semblait avoir repéré un couple à mon arrivée … qu'importe. Je relevais légèrement la tête, observant les différentes stations indiquées afin de repérer mon changement. Une gare … une seconde … j'en perdis le fil jusqu'à ce qu'un bruit soudain ne retentisse violemment. Les lumières s'éteignirent brusquement alors qu'il s'immobilisait abruptement, me conduisant à bousculer quelqu'un brutalement. Je me retins de justesse à la barre, y enroulant mes doigts tout en retenant la personne bousculée de ma main libre en l'attrapant par son blouson. Il faisait noir .. jusqu'à ce que des lumières blanchâtres et tamisées ne prennent le relais, baignant la scène mystérieusement. Ma cigarette tomba, broyé en deux tandis que la tension colérique montait. Mais je fis l'effort de regarder la personne que je maintenais, avant de la relâcher. « Excusez moi. » murmurai-je dans ma barbe, obsidiennes sombres qui naviguèrent vers des hauts parleurs obstinément silencieux.
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MessageSujet: Re: LOUPS : un incident dans le métro LOUPS : un incident dans le métro EmptyJeu 22 Aoû - 11:24



La porte de l’appartement claque et le courant d’air fait frissonner Rebecca alors qu’elle lève les yeux vers le ciel. Le temps a l’air lourd, le ciel est envahi de nuages et la blonde se demande si une averse ne risque pas de tomber. La matinée passa sous le signe du soleil pourtant mais tout comme l’humeur de Rebecca, le temps tourne. Elle dévale les escaliers du porche et dévale la rue, essayant de rejoindre une des artères pleines de monde de Chicago. Ses talons claquent sur le sol et elle manque de trébucher. C’est ridicule de courir avec des talons. C’est aussi ridicule de sortir ainsi, pas coiffée, tout juste maquillée et ne portant qu’une malheureuse robe légère avec laquelle elle n’aurait jamais osé mettre les pieds dehors avant. Tout cela est ridicule mais pas plus ridicule que de claquer la porte de sa maison et de se retrouver dehors. Elle regarde par-dessus son épaule, dans l’espoir qu’il ne l’ait pas suivi et elle ralentit doucement le pas quand elle s’aperçoit que la rue est remplie d’inconnu. Elle soupire de soulagement et s’arrête contre un mur pour se calmer. Elle observe les gens passés avec une curiosité profonde. D’habitude, elle ne les regarde pas ces inconnus sans visage qui naviguent autour d’elle. Mais aujourd’hui elle se demande si cet homme pressé court vers un autre rendez-vous ou s’il se dépêche de rentrer chez lui retrouver sa famille. Si cette femme qui sourit au téléphone discute avec son petit-ami. Elle se demande quelle vie on pourrait lui inventer. Les cheveux dans le vent, le cou rougi de marques, l’appréhension sur son visage, elle doit avoir tout l’air d’une femme adultère. Et c’est ce qu’elle est. Elle frissonne dans la rue et décide de trouver une boutique pour s’acheter une veste. Tout en marchant, Rebecca rejoue encore et encore dans sa tête la scène. L’arrivée de son amant, son sourire en coin tellement agaçant, ses baisers rageurs, la sensation désagréable de ses dents dévorant son cou sans tendresse, juste un besoin possessif. Un magasin de jouet attire son attention et elle observe les poupées dans la vitrine. Depuis combien de temps en est-elle une de poupée ? Depuis quand sa vie n’est plus qu’une descente aux enfers ? Elle s’arrête dans la première boutique qu’elle trouve – une boutique vintage – et achète un blouson en cuir pour soixante malheureux dollars. Elle remercie son bon sens d’avoir pris son sac avant de s’enfuir de chez elle. La blonde s’enfonce dans les rues de Chicago, se sentant comme désincarnée, dans la peau d’une autre, spectatrice de sa pauvre vie. Elle ne revient à elle que quand la nuit tombe. Une odeur âcre qui lui rappelle son enfance lui monte au nez et soudain, elle réalise qu’elle se tient à un pâté de maison de la rue où elle a grandi. Elle sent la pauvreté dans chaque cellule de son corps. Une envie de vomir la prend brusquement et elle fait demi-tour, loin de cette médiocrité, loin de son passé dont elle ne veut pas se rappeler. Elle sait qu’il y a une station de métro à quelques mètres, elle la prenait souvent quand elle montait dans le centre. Elle se dépêche de s’y rendre, le quartier n’est pas vraiment sûr la nuit, elle s’en souvient très bien. Elle achète rapidement son billet et s’engouffre dans les sous-terrains de la ville. Prendre le métro n’a jamais été son activité favorite. Les portes qui se referment sont comme la gueule d’un monstre et la sensation de vitesse la fait se sentir prisonnière de la gravité, impossible de faire un pas. Tête baissée, main serrée autour de la barre de fer, elle a les jointures blanches à force de serrer le métal si fort. Elle compte les secondes qui la séparent de l’air libre et puis soudain, le métro s’arrête brusquement et le noir les engloutit. Elle entend des cris et elle sent quelqu’un la percuter. Elle lâche sa prise mais sent une main attraper son bras et la redresser. Son cœur tambourine dans sa poitrine alors que les lumières clignotent lugubrement. Elle aperçoit vaguement le visage de l’homme qui l’a percutée, elle l’entend s’excuser mais ne répond pas. Tout ce qui compte pour elle à cet instant c’est la sortie. Les jambes tremblantes, elle se tourne vers la porte et essaie de l’ouvrir. Rien. Ils sont bloqués en plein milieu d’une ligne. Elle sort son portable et ignore les dix appels manqués. En revanche, la croix en haut à droite de son écran attire son attention. « Pas de réseau génial, on est coincé ici. » murmure-t-elle plus pour elle que pour quelqu’un. Elle regarde les autres personnes d’elle, sachant que les prochaines heures vont être affreusement longues. Surtout ne pas paniquer s’efforce-t-elle de penser.
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MessageSujet: Re: LOUPS : un incident dans le métro LOUPS : un incident dans le métro EmptyVen 23 Aoû - 10:38



Le temps, il s'était arrêté l'espace de quelques secondes. Les minutes s’égrainaient, limpides, devant ce regard fatigué, éteint. A ce moment, elle aurait tellement souhaitée pouvoir remonter le temps, revenir quelques années en arrière, au temps de l'insouciance et de l'innocence. Elle relisait sans cesse ce rapport, celui d'un meurtre décrit dans les moindres détails où la préparation si minutieuse du meurtrier ne laissait aucune faille. Aucune. Ses dents se plantaient dans son inférieur avant qu'elle ne poussait un juron, envoyant le dossier contre le mur dans un accès de rage, de douleur, d'exaspération. La douleur. Elle était mêlée à celle de la perte d'un être cher, de sa chaire. Une soeur aînée, envolée, partie dans des cieux qu'elle ne pouvait mirer. Un enterrement, une tristesse. Pourtant, aucunes larmes ne vinrent brouiller les vermeilles. Les larmes étaient inexistantes, refoulées. Un déni quant à une mort qui l'affectait, des rires d'enfants éteints, taquineries d'une aînée envolée. Elle attrapait son verre, le liquide ambré venant trouver ses lèvres, glissant dans sa gorge assoiffée, brûlante. Elle allait devenir folle à rester ici, coincée derrière ce bureau plongé dans l'obscurité. Seule sa lampe émettait une lumière chaude, fantomatique. Elle se levait, lentement, corps déroulé, attrapant le dossier à terre qu'elle glissait dans l'un des tiroirs de son bureau, fermant ce dernier à clé. Blouson enfilé avant qu'elle ne rejoignait cette chape sombre qui habillait le ciel, bleu ciel remplacé par un noir d'encre qui était égale à son humeur, massacrante. Elle se dirigeait vers la station de métro la plus proche, ayant rechigné de prendre sa moto ce jour-là, voulant se rendre à pieds à son boulot pour éclairer des idées qui étaient toujours aussi obscures. La vengeance, elle avait un goût amer et métallique sur sa langue. Une vengeance qu'elle n'abandonnerait de sitôt, persuadée qu'elle trouverait le moyen de mettre ce salopard derrière les barreaux, une bonne fois pour toute. Elle descendit les escaliers rapidement, payant nonchalamment son billet avant de se rendre sur le quai. Lumière blanchâtre, transport en commun arrêté, des portes coulissantes franchies avant qu'elle ne se posait dans un coin, sortant son téléphone avant de glisser des écouteurs dans ses oreilles. Un musique abrupte et puissante se mit en marche, mélodie rythmée qui apaisait un esprit torturé. Elle fermait les yeux, ignorant superbement les autres passagers autour d'elle, s'enfermant dans ce monde où l'acidulé n'avait aucune place. Et puis il fut brutal, un arrêt qui la fit sursauter et dans une demi-somnolence du à un sommeil cherché et non trouvé, elle glissait de son siège, percutant violemment la paroi, poussant un juron à cause d'une douleur qui transperçait son épaule. Elle se relevait abruptement, constatant un téléphone perdu, ayant sûrement glissé sous l'un des sièges. « Merde ! » s'écriait-elle avec agacement avant de s'accouder contre la paroi métallique, lumière fantomatique venant aveugler ses yeux fatigués. Sa main vint se poser contre son épaule douloureuse alors qu'elle entendait des brides de conversations, un homme s'excusant auprès d'une jeune blonde qui affirmait qu'il n'y avait pas de réseaux donc aucun moyen de sortir de ce guet-apens. « Génial, moi qui est toujours rêvée de passer ma soirée dans un métro à l'ambiance si lugubre. » ironisait-elle en levant les yeux au ciel, se dirigeant vers les portes dans lesquelles elle donnait un coup de pied, espérant qu'elles finissent par s'ouvrir, ne serait-ce que de quelques centimètres. Une perte de temps puisqu'elles restaient closes. « On va trouver un moyen de sortir. » assurait-elle à la cantonade. Tandis qu'elle réfléchissait à une éventualité de sortir, son regard se posait sur un visage familier, sourcil se arquant devant cette rencontre...si soudaine. « Nik ? »
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MessageSujet: Re: LOUPS : un incident dans le métro LOUPS : un incident dans le métro EmptyLun 26 Aoû - 13:35



La rentrée est loin d’être la période la plus agréable de l’année pour les étudiants que ce soit universitaire ou autres. Derniers jours pénibles, stress, blues de l’été, insomnies, dépenses ..  En bref, la dernière ligne droite, véritable course contre la montre pour nouveaux et anciens étudiants. Mais pour que cette rentrée se passe pour le mieux tout le boulot revenait aux professeurs qui  contrairement aux étudiants écourtaient généralement leurs vacances pour assister aux examens de rattrapages et corriger les dernières fiches. En tant que professeurs en sciences comportementales, Ciaràn devait affronter un auditoire d’environ deux cents étudiants - plus composé gourdasses complètement stupides sous le charme de leur professeurs qu’elles imaginent un peu plus dénudé chaque jour que de véritables étudiants intéressés par cette matière - et ce, tout au long de l’année. Il devait par conséquent classer quelques centaine de feuilles multipliée le nombre de tests qu’il avait prévu durant les trois périodes, de quoi crouler facilement sous le poids du stress et de l’énervement.
En couple dans le plus grand des secrets, Everleigh supportait difficilement de voir Ciaràn céder à l’agacement et à la fatigue qu’il accumulait durant cette période de rattrapage. Leurs vacances étaient les seuls moments pendant lesquels ils pouvaient vivre leur histoire sans avoir à se cacher aux yeux des gens, il était donc hors de question qu’elle le laisse passer des heures loin d’elle, d’autant plus qu’elle avait plus que jamais besoin de lui après ce qu’ils avaient appris quelques jours auparavant. Bien que Ciaràn refuse presque catégoriquement son aide, prétextant qu’elle devait se reposer un peu, Evy réussi malgré tout à s’imposer, ne lui laissant aucune autre alternative. Elle l’aiderai, un point c’est tout. Everleigh et Ciaràn n’étaient pas les seuls à avoir trouvé une occupation pour cette journée, Aalyah aussi avait décidé de sortir faire les magasins, emportant la voiture avec elle et laissant son fils sans moyen de locomotion. En voyant Ciaràn grogner dans ses dents qu’il n’aurait jamais du accepter de prêter sa voiture à sa mère, Evy ne pu retenir un léger rire. « Eh bien prenons le métro ! » Lanca t’elle avant de partir première pour rejoindre la rame de métro qui leur permettrait de rejoindre l’université pour une longue, très longue journée de travail.
Le soleil s’était déjà couché depuis quelques heures, les lampadaires éclairaient les rues sombres de Chicago. Le vent était froid, glacial même dans les sous-sols et le clignotement des lampes n’apportait rien de bon à cette ambiance déjà lugubre.  Silence total, seul le bruit du métro résonnait contre les murs. Quelques personnes attendaient le métro, une dizaine tout au plus. Grimpant dans l’appareil suivie de Ciaràn, Everleigh s’assit sur l’une des chaises bancales libre avant d’accorder un sourire fatigué très peu rassuré à son compagnon. La journée avait été relativement longue pour la jeune femme qui se faisait peu à peu à son rôle de future maman. Le métro démarrant, elle dévisagea les passagers, tentant vainement de lire en eux comme Ciaràn leur avait appris en cours de Sciences comportementales. Un homme attira son attention, une bonne trentraine d’année, aux yeux bleus et cheveux foncés qui ne semblait pas de très bonne humeur. Concentrée sur son sujet, elle se sentit soudainement extrêmement bousculée, plongée dans le noir le plus total jusque avant que les lampes se secours ne prenne la relève. La vision légèrement trouve suite au choc de sa tête contre la paroi du métro, Evy cligna longuement des yeux avant de recouvrer une vision plus ou moins correcte, voyant avec effroi plusieurs passagers blessés, la main posée sur son ventre d'un geste protecteur qu'elle commençait peu à peu à découvrir. Les passagers commençaient à s’agiter. Coincés, ils étaient coincés sur une rame de métro sans réseaux, sans rien, menacés d’être percutés à nouveau par un second appareil arrivant en sens inverse.  « Rassurez moi. Ce métro est bien le seul à circuler sur cette ligne ? » demanda la jeune femme, pétrifiée à l’idée de voir un second métro les percuter d’une minute à l’autre.
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