I should have bought you flowers

Avant que tout cela ne lui arrive c’était un chic gamin, le coeur sur la main ouvert d'espri et altruiste, il a toujours eu un peu d’orgueil dû à la vie qu’il a eu. Mais elle n’a jamais été aussi conséquente qu’aujourd’hui. Bien que parfois son caractère soi à la limite du détestable il n’a jamais eu un fond mauvais. La célébrité l'a changé, cette façon dont les gens le regardent, l’admirent lorsqu’il danse lui on fait simplement penser qu’il est bien au-dessus de tous ses gens qui suent pour être à un si bon niveau. Il est arrivé dans ce monde si facilement, il y a ce quelque chose qui le rend bon, différents des autres danseurs. Il fait partie de ceux qui sont né pour cela, qui ont simplement le don d’autre ne l’ont pas et Andrea ne mâche pas ses mots pour leurs dires. Avant il les aurait encouragé, que tout est possible mais son arrogance a pris une telle ampleur dans sa personnalité qu’il n’est plus celui qui encourage les autres, hormis ceux qui le méritent à ses prunelles. Ces personnes sont rares mais sont soulager d’entendre des compliments de la part du canadien, tout le monde sait que ce bouclé peu détruire une personne aussi facilement qu’il danse. Il n’était pas ainsi, il l’est devenu, ce monde l’a fait devenir aussi arrogant que bon, il ne s’arrêtera plus désormais pour le plus faibles et il les laissera danser dans son ombre. Il a trop souvent eu ce qu’il voulait, son nom l’a aidé, son don montré qu’il n’est pas simplement le fils d’une danseuse de renom. On a souvent mis en doute ses valeurs gamins, mais une fois qu’il s’est vraiment mis à danser, prouver qu’au monde que l’on peut arriver. Où est donc passé ce gamin qui se battait pour défendre les autres, qui ne détruisait pas l’espoir mais le rendait plus fort ? Si bien une chose à changer en Andrea c’est sa tolérance, il est devenu si arrogant et moqueur. Il se fou de ce que peu le monde peut penser de lui, il vole bien trop haut pour cela l’effleure.
Si Eledwen l’a quitté c’est bien à cause de lui, pourtant elle était la seule qui aurait pu le ramener sur terre, au lieu de l’aider elle l’a quitté, laisser prendre son envol tout seul et dire adieu à une partie de sa personnalité qui le rendait bien plus agréable que maintenant. Peu de gens énuméraient ses qualités, sa sociabilité est sa plus grande vertu. Son innocence a été détruite, il ne s’est pas construit une carapace il n’en nul besoin, pour une personne qui se croit au-dessus de la masse, inutile de se forger un bouclier. Il est simplement devenu arrogant et bien trop taquin. Il se fou de tout, jeune il est remplie d’ambition, une chute pour détruire toute cette arrogance mais à quel prix ?

« Tu sais je pose quand même la question on ne sait jamais peut-être qu’un jour tu me diras que tu viens ici pour t’entrainer en tout bien tout honneur. » Si Eledwen espère de lui qu’il redeviendra ce bon petit gamin altruiste, elle se trompe. Il n’est plus celui qui se fait berne, il est celui qui se moque des autres. Elle espère tant de lui par moment, ce n’est plus en étant qu’une simple amie qu’il changera pour elle. Son ignorance ne le fera pas réfléchir mais amplifiera sa détermination. Plus personne ne peut le changer, il est comme ça maintenant. Il hausse alors les épaules comme réponse, avec ce sourire qui lui est fidèle. « Pas dans cette école. » dit-il en simplement en posant ses prunelles avec cette lueur de roublardise dans les siennes, elle ne lui fera jamais avouer clairement qu’il y a meilleur, il le sait pourtant c’est la raison pour laquelle il se bat autant pour ne pas être rabaisser à l’échelon du bas. « Je savais que tu avais besoin de moi. » il est incapable de se taire, et d’apprécier la chose comme elle est. Il lui tend simplement sa main, ne cachant certainement pas sa joie intérieurement. « Je ne ferai rien qui pourrait te déstabiliser. » il laisse glisser sa main légèrement sa main pour effleuré l’une des fesses de la française. Il savourait toujours ses victoires d’une certaine manière, bien qu’il fasse le malin. Elle sait qu’une fois la musique lancé, il s’exécutera comme elle le souhaitera, il est trop perfectionniste pour gâcher une danse, un mouvement. Rien n’avait commencé il en profitait. « Oups, je vérifiais juste quelque chose » dit-il en remontant sa main, il se jouait d’elle comme un gamin. « Très bien princesse, je suis ton homme. » Ce sourire énervant ne quittait pas ses lèvres, cette lueur dans ses yeux, Andrea était incorrigible surtout lorsqu’il désirait quelqu’un. « La question est-ce que tu es prête toi ? Je te sens un peu tendu. » Son sourire se fait moins moqueur. « Je le suis toujours pour toi. » bien qu’il y avait de la colère dans le regarde de la sulfureuse brune, c’était le genre de blague qu’il a souvent fait.

Il lui lance ce regard complice, et tous deux exécutent leurs mouvements d’une telle précision à en rendre jaloux leur camarade. Un seul instant il sentit sa belle brune faiblir dans un de ses enchaînements, ce qui lui avait permis d’anticiper la suite. Elle perdit son équilibre et lui la rattrapa pour qu’elle évite de s’effondrer au sol, elle fut si collée à lui qu’il en était lui-même surpris. « Alors De Balzac on ne tient plus sur ses pieds ? » dit-il en se moquant légèrement d’elle, lorsqu’il appelait une personne par son nom c’était très ingrat de sa part. « Ca ne te ressemble pas. » dit-il en desserrant son bras autour de sa taille, une main aurait pu paraître baladeuse mais son bras n’avait été quel là pour la soutenir. Ses prunelles se sont posées dans les siennes, ils sont si proche l’un de l’autre, sentant son souffle contre ses lèvres. Son sourire ne s’estompe pas, il la regarde droit dans les yeux comme s’il cherchait quelque chose à lui prouvé. « Je te perturbe tant que ça ? » il sent une pression sur son torse qui le fait se reculé légèrement, il lève les yeux au ciel en soupirant. «Je plaisante. » il hausse les épaules avec un sourire amusé pour plongé ses prunelles azures dans les siennes. « Ne soit pas fâchée, ça arrive à tout le monde de se tromper même aux meilleurs. » il lui sourit amicalement, une phrase pour la rassurer voilà bien une première qu’il montre autant d’indulgence, si cela n’avait pas été la française il l’aurait détruit et traité d’incapable. Se rendant compte de son propose il reprend sa mine de conquérant en haussant les épaules. «Note bien cette phrase Eledwen, je ne te la dirais pas souvent. »
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I should have bought you flowers

Andrea aimait Eledwen, il l’aime encore car elle a été la première personne avec qui il a été le plus sincère, le plus agréable. Oui Eledwen a été la première personne qu’il a véritablement aimé avec passion. C’est sans doute la raison pour laquelle il n’a jamais réussi à l’oublier, elle était là toujours à le hanter. Même s’il ne l’a jamais montré, sa rupture lui a fait plus de mal qu’il l’aurait pensé. Il ne lui a rien dit, il n’a eu aucune réaction, il est partit. Il ne voulait pas lui montrer qu’elle comptait trop pour lui, que cette décision l’affectait tellement qu’il avait dû fuir. Oh ciel Andrea ne fuit jamais devant quelque chose, il est trop téméraire pour avoir la décence de tourner le dos alors qu’il est préférable de le faire. Il est le genre de personnes qui n’abandonne jamais, c’est sa persévérance qui la mener là où il en est, sa niaque de vivre et de réussir en tout point qu’il pratique. 


Il joue aux idiots mais au fond de lui il est blessé par toute cette distance qu’elle met entre eux, sa façon de lui parler comme s’il n’était rien. Le regard qu’elle pose sur lui n’a plus cette passion qui faisait battre son cœur, elle est partie, elle ne le veut plus. Et cela il ne l’accepte pas car cela l’affecterait tellement de se rendre compte qu’elle ne l’aime plus alors que lui si. Il n’a pas l’habitude d’être la personne qui aime sans être aimé. Il ne le avouera rien, niera tout et sera contraint de la regarder s’en aller un peu plus, encore plus loin dans les bras d’un autre. « Tes menaces ont toujours eu comme effet de me faire rire .» ses yeux se posent dans les siens. Les années les ont changé, elle a grandi, mûrit, il est resté le même gamin fouineur et taquin avec encore plus d’arrogance et de fierté. Elle l’a oublié, lui n’y arrive pas, par manque de maturité ? ou parce qu’il la trop aimer ? Il n’y pense pas, il ne faut qu’il y réfléchisse quand il danse sinon cela le perturbe, lui faire perdre son équilibre, la précision de ses gestes.

Il l’a rattrapé, voilà longtemps qu’ils n’ont pas été aussi proche. Mais, lui ne change en rien, ne montre pas que cette proximité fait battre un peu trop vite son cœur et le perturbe. Il lance une mauvaise blague, comme il a toujours fait. Sans pointe d’arrogance pour une fois. « On m’aime pour ça. » dit-il en haussant les épaules, il a toujours été le pitre, le clown de la bande. Et elle s’est plaint très rarement de son humour déplacé, contrairement à maintenant. « On peut dire ça oui. » aussi simplement soit-il, la française est une privilégiée car elle est la personne qu’il aime. Il sera toujours plus doux avec, plus gentil, plus généreux… Il essaye d’être plus agréable mais sa fierté prend le dessus. Il ne veut pas lui montrer qu’elle est spéciale pour lui car il sait qu’elle le rejettera d’avantage car elle en aime un autre et ne peut laisser une personne comme Andrea s’immiscer dans sa vie. Il ne veut pas qu’elle le rejette. De ressentir de nouveau ce sentiment qui le rend si vulnérable.

La tirade de la brune le blesse, pourtant il en reçoit des critiques, constamment sur sa façon d’agir. Il en rit habituellement, il s’en fou. Mais les mots sortent de la bouche d’Eledwen, de sa Dweny. « Ne cherche pas El’, c’est ainsi et ta tirade ne me fera pas changer.            Tu dois accepter ce que je suis devenu. » un ton étrangement sérieux, il hausse les épaules en soupirant. « Ne viens pas me blâmer sur ce que je suis alors que tu es incapable de te gérer toi-même. » il ne sait pas pourquoi il lui dit ça, parce qu’elle est anormalement blanche et se doute qu’elle a une santé fragile. Sa méchanceté dépasse sa pensée, elle la blessé il riposte en la blessant. « Tu veux la vérité ?» il à cet air arrogant, ce rictus, il veut la blessé autant qu’elle vient de le faire, qu’elle la fait. « Je ne suis pas venu pour toi Dweny. » il ment mais cela ne se lit pas dans ses prunelles, il est un si parfait dans son mensonge. «Arrête de croire que mon monde tourne autour du tien » il soupire, il passe sa main dans sa chevelure bouclée. Il s’en veut de ne pas avoir été franc, il aurait pu. Mais qu’est -ce que cela aurait pu changer. « Tu croyais vraiment que j’étais venu pour toi ? Tu m’as laissé  Dweny  je n’allais pas te courir après. » Une part de sincérité dans ses dires, une certaine vulnérabilité dans ses prunelles. Il baisse ses yeux, et se recule. Pourtant c’est ce qu’il fait, il court après un amour perdu, a s’en déchirer les poumons et  à se détruire le cœur. Il n’arrive pas à oublier. « On s'y remet ?  » 
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Ca l’énervait de se rendre compte que tous les deux s’éloignaient de plus en plus, elle ne l’aimait plus et il la perdait, il ne pouvait rien y faire. Elle semblait le haïr, sa façon dont elle le regardait le blessait. Il aurait simplement voulu qu’elle le considère un peu plus comme un ami, elle ne l’a jamais fait. Lui ça l’a poussé à croire qu’elle l’évitait car elle craignait ce que sa présence pourrait lui faire ressortir d’ancien sentiments. Il s’est trompé, il semble le seul à encore l’aimer. Au lieu de chercher sa sympathie, par frustration il se montrait blessant, c’était plus fort que lui, de sa nature. Eledwen semble croire qu’il n’est pas de ce genre, elle se trompe maintenant il est quelqu’un d’offusquant.

Il continu dans la lancée, lui montrant qu’il était là pour lui, mensonge tous ce qu’il a fait jusqu’à là c’est pour elle, pourquoi l’avouer ? Elle ne l’aimait pas qu’elle importance qu’elle sache la vérité, elle voulait qu’il lui dise quoi ? Qu’il l’aime encore ? C’est elle qui l’a quitté, lui est revenu bêtement en se rendant compte qu’elle l’a complètement oublié. Il n’est plus rien à ses yeux alors autant qu’il devienne quelque chose, celui qui la blesse. En voyant cette peine dans ses yeux, Andrea baisse les siens se rendant compte qu’il lui était difficile de blesser les personnes qu’il aime vraiment. « Est-ce que ca t’apportes de la satisfaction ? Est-ce que c’est un nouveau concept pour montrer que c'est toi qui décide ? Je suis quoi pour toi ? Qu’est-ce que tu vois, là maintenant, tu veux t’amuser c’est ça ? » Sourire réflexe, ce qu’il entend le fait rire. Elle ne semble pas voir c’est elle qui se joue de lui en laissant des regards remplis d’amour à un homme bien trop vieux. Elle l’évite, semble ignorer qu’avant ils s’aimaient et elle lui sort cela. Eledwen ne semble se rendre compte c’est parce qu’il est blessé qu’il se montre si odieux. « Tu ne comprends rien. » dit-il en plantant ses prunelles dans les siennes, vexé, blessé c’était plutôt à lui de demander ce qu’il était pour elle. Elle est tout pour lui, la fille qui l’aime et qui le détruit car elle ne l’aime plus. Il n’avouera jamais ses sentiments, car cela prouverait qu’il n’a pas réussi à oublier ce qui les liait. Il l’aime et ça le tue de voir qu’elle n’a plus que de l’apathie à son égard, c’était peine perdu, elle en aimait un autre. Andrea n’est pas celui qu’elle aime mais un jour il sera le seul qui lui restera quand son amourette de jeune fille en effervescence. « Tu vois, si tu m’avais dit que oui tu étais venu ici à cause de moi, j’aurais pu pardonner ton comportement. Le fait que tu me colle, me touche et j’en passe ! Mais savoir que tu fais ça juste par… amusement, ça me déçoit vraiment.» il l’écoute, simplement et durement. Pu pardonner, ce mot le fait rire, il ne peut pas s’en empêcher d’être exécrable, il l’était autant qu’il était énerver. Ses yeux s’assombrissent, ses mains se posent sur les épaules de la française. « Quand on ignore la vérité on se tait » il est venu pour elle, pour la revoir, la toucher de nouveau, si seulement elle ne l’avait pas tant ignoré, il n’aurait pas cherché à autant s’en approcher. « Tu veux que je te dise quoi Dwen ? » blessé, énervé il n’en pouvait plus, trop distrait par la faute de la brune, il n’arrivait plus à rien. « Tu m’ignores comme si j’étais celui qui t’avais blessé,  quitter. » il baisse sa tête, vulnérable, elle le rend si vulnérable. « Tu m’as abandonné. » sa voix s’éteint, il ne doit pas se montrer si accablé. S’imaginer qu’elle l’a oublié aussi vite que leurs histoire s’est terminé alors que lui peine à effacer ses sourires de sa mémoire. « Tu sais la véritable raison de ma venue. » ses mains quittent ses épaules,  il se retourne et se baisse pour attraper son sac, il ne peut rester. « Si tu ne veux plus danser, je n’ai plus rien à faire ici n’est-ce pas ? je n’étais déjà pas le bienvenu. » ses yeux assombrit par la tristesse se posent délicatement sur la française qui resté planté là. « Trouve toi donc un autre partenaire. »
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