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Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true.

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MessageSujet: Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. EmptyMar 5 Mar - 13:36



Guenièvre Deirdre Morrigane


L'absence est à l'amour ce que l'air est au feu: il éteint les petits et allume les grands.


Mon histoire a débuté le date de naissance, dans une lointaine contrée prénommée lieu de naissance, me dessinant comme un(e) nationalité. Également d'origine vos origines, âge printemps se sont écoulés depuis, le temps coulant et défilant à une vitesse défiant toute imagination. Je me suis façonné, et je suis désormais apte à assumer une personnalité qui m'est unique, mêlée de qualités qui me subliment, à savoir que je suis qualité, qualité, qualité, qualité, à des défauts qui m'assombrissent, à savoir que je suis défaut, défaut, défaut, défaut. Vous endormir, ou vous faire fantasmer sur un physique que des mots ne pourront véritablement esquisser dans votre esprit, serait vous faire du tort, ainsi je me contenterais de dire que je ressemble  étrangement à célébrité. Je suis donc bien un(e) sexe. Vous ne l'aviez deviné ? Ma vie amoureuse est chaotique, mais je sais aujourd'hui m'intéresser aux femmes/hommes  et je suis épanoui(e)/même si je ne l'assume guère. D'ailleurs, je suis en couple/célibataire/amoureux, depuis quelques temps à savoir x jours/mois/ans, ce qui interfère/bien que ça n'interfère pas dans ma vie professionnelle. Je suis en effet métier/autre. En conclusion, et après ce petit retour sur moi-même, je pense être groupe.


Votre Secret
C'est un sourire, un fantasme, un souvenir. Tu es partit, mais tu es là, fantôme de mon passé dont je ne peux me passer. Chaque jour, sans en toucher mot, je me rends au cimetière, je te conte mes peines et mes joies, assise dos à la pierre, la tête tournée vers le ciel. Tu es partit, mais je ne sais cesser de t'aimer. Tu es mort, mais tu es toujours dans ma vie. Je ne parle de quiconque à ton existence, prétexte le travail pour venir te voir. Amour qui me tue à petit feux alors même que je suis fiancée à un autre. Et pourtant, je continu de venir, inlassablement, chaque jour, lorsque le soleil décline sur l'horizon. Parce qu'en moi brûle le faible espoir que tout ceci ne soit qu'un cauchemar, un rêve dont je vais m'éveiller. Mais la vie suit son chemin, sans toi, sans nous, et c'est dans les yeux d'un autre que je me vois. Le mensonge me rend honteuse, me donne la nausée, mais je ne sais faire autrement. Car, en vérité, je suis incapable de te perdre une deuxième fois.


Tics & Habitudes
✎ La jeune femme est une « chocolat blanc addict » mais déteste le nutella, dont elle a trop abusée jeune et qui, maintenant, l’écœure. ✎ son pays natal lui manque plus qu'elle n'oserait l'avouer ✎ c'est une grande fana du monde de disney et de ses personnages, en particulier les emblématiques Minnie et Mickey ✎ elle a une demi-sœur qu'elle ne connaît pas, du côté de son paternel, et dont elle ignore l'existence ✎ plus jeune, elle rêvait d'être une artiste, et de dessiner ses propres robes de mariées. Aujourd'hui, elle a laissé ce rêve de côté et se concentre sur son métier ✎ elle a tendance à mordiller son pendentif lorsqu'elle est angoissée ou en colère, une bague de fiançailles délaissée par son premier amour aujourd'hui décédé. Son fiancé actuel ignore tout de l'histoire de cette blague, croyant qu'elle appartenait jadis à sa grand-mère ✎ aussi incroyablement que cela puisse paraître, Gwen n'aime pas forcément mentir à ceux qui gravitent autour d'elle, mais son secret est l'expression du désir égoïste de garder Ayden près d'elle ✎ grande lectrice, elle aime s'installer sur le balcon de son appartement pour bouquiner durant des heures ✎ elle a eu beaucoup de mal à se remettre de la mort de sa mère, deux ans plus tôt, et se sent esseulée malgré son mariage imminent ✎ il lui arrive de songer à tout quitter, à tout recommencer, dans un ailleurs qui serait loin du monde dans lequel elle évolue ✎ elle a un faible pour les minéraux, en particulier la pierre de lune, pierre de la féminité et des rêves oubliés ✎ elle possède une multitude de chapeaux et de manteaux assortis, et trouve dans la mode une sorte de superficialité qui parvient, parfois à la soulager de son chagrin trop profond ✎ elle a une sainte horreur des médecins et des hôpitaux ✎ elle rêve d'avoir un enfant, mais la perte de son bébé, sept ans plus tôt, à l'annonce de la mort d'Ayden la bloque énormément.


De l'autre côté du Miroir
Pseudo ﮦ écrire ici. Âge ﮦ c'est facultatif Sexe ﮦ c'est facultatif Où as tu découvert le forum? ﮦ écrire ici.  quelles sont tes impressions? ﮦ écrire ici. Désires tu être parrainé(e)?ﮦ écrire ici. Fréquence de connection ﮦ ?/7.  Un dernier mot? ﮦ écrire ici.



Code:
<taken>Prenom Nom de votre célébrité</taken>  ﮦ <pseudo> prénom nom de votre personnage</pseudo>



Dernière édition par Guenièvre D. Morrigane le Mar 5 Mar - 13:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. EmptyMar 5 Mar - 13:36





Citation,Citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation, citation.

L'histoire est une galerie de tableau
« Je suis fiancée, et ces trois mots me semblent imprononçables. Pourtant, je dois les dire n'est-ce pas ? Les partager, avec toi, pour nous, pour lui. Mentir m'est difficile, de plus en plus, et pourtant, je ne parviens pas à divulguer ce secret. Qu'en penserais-tu ? Je ne sais si tu me pardonneras, et pourtant, ce n'est pas une trahison n'est-ce pas ? Je dois recommencer à vivre, pour moi, pour toi, pour ces rêves que nous avons nourrit autrefois.Tu sais, il est adorable … un peu caractériel, certes, mais très responsable, drôle, vivant … Et pourtant ... j'ai l'impression de te trahir, de le trahir. Je ne suis franche avec personne, pas même envers mes sentiments ! Et pourtant, je l'aime … je l'aime vraiment … c'est simplement différent de toi et de moi. C'est plus … réel, plus durable … Mais qu'est-ce que je raconte … je suis ridicule … Je n'y arrive plus … »

Famille d'accueil ? Pour délinquant ? Ma mère était devenue folle, quoiqu'elle l'était sans doute déjà un peu. Ce n'était pas la première fois qu'elle venait en aide à ces jeunes qui faisaient conneries sur conneries, mais de là à en ramener un à la maison … Je laissai mes yeux errer sur le jeune homme en question, à peine plus âgé que moi, de deux petites malheureuses années. Ses yeux bleus taillés en demi-lune éclairaient un visage sombre et fermé, pourtant mis en valeur par des traits réguliers et de courts cheveux châtains. Grands et bien bâtis, il était ce genre d'homme à plaire immédiatement à toutes les péronnelles de mon âge. Nos regards se croisèrent, et je rougis involontairement, prise en flagrant délit. Un fin sourire étira ses lèvres, sarcastique, et mon visage se crispa. Une petite voix intérieure m'assurait que ce gars n'allait pas me rendre la vie facile. J'étais encore loin d'imaginer à quel point.

« Je l'ai rencontré il y a quelques mois, alors que j'organisais le mariage de sa sœur. Il était ombrageux et trouvais matière à critiquer la moindre petite chose que je pouvais faire. Tu me connais, je me suis immédiatement insurgée, en partie parce qu'il te ressemblait … Combien de crises ais-je pu faire adolescente à cause de toi et de ton caractère ! Oh, tu y prenais plaisir, me poussant davantage … Il m'a fait peur, car les souvenirs de nous deux resurgissaient, revenaient. Mais au final … j'ai compris, à force de prises de bec, combien il était différent. Il ne songeait qu'au bonheur de sa sœur, et en plus de cela, je lui plaisais ! Oh bien sûr, depuis que tu es partit, j'ai été draguée plus d'une fois mais … je n'avais jamais ressentit cela auparavant. Il me fait frémir, par son assurance, ce côté un peu machiste, que je prends pourtant plaisir à critiquer ! Enfin … sa sœur nous a fait comprendre que si nous ne nous entendions pas, ni l'un ni l'autre ne serions invités. Tu n'imagines pas la catastrophe ! Comment superviser les derniers détails si je n'avais de sauf conduit ! Je l'ai prise au sérieux, son frère un peu moins et pourtant, il a joué un jeu, un autre jeu.  ... »

« Je te prierais instamment et poliment de quitter cette pièce si tu veux rester en un seul morceau. » Ayden s'assit sur mon lit, sans tenir compte de mes paroles, et s'adossa à mes coussins après avoir attrapé un livre qui traînait sur ma table de chevet. Je serrai les poing, agacée par son attitude désinvolte, puis replongeai mon nez dans mon livre de chimie, en priant pour ne pas perdre mon sang froid. « Tu as de drôles de lecture » commenta t-il d'une voix amusée. Concentre toi sur ton O2, ton O2 … Il se racla la gorge, puis débuta d'une voix théâtrale « Mais la vérité, c'est que j'ai été amoureux de toi presque la moitié de ma vie … Les femmes que j'ai ... »Le livre de Nora Roberts vola dans la pièce lorsque je donnais un coup dedans tandis que celui de chimie s'écrasait sur son visage. « Je t'ai demandé de sortir de cette pièce ! »Je ne vis pas ses mains, jusqu'à ce qu'elles encerclent mes poignets et m'entraînent sur le lit sur lequel il était toujours affalé. Je perdis l'équilibre, m'écrasant de tout mon long sur lui jusqu'à ce qu'il ne bascule pour m'emprisonner de son lourds corps d’athlète. Je me tus aussitôt, effrayée quant à faire le moindre geste sous cette masse masculine, alors que son souffle rebondissait sur mes lèvres, disposant des traces de son effluve sur ma langue. Je serrais aussitôt les lèvres, tentant de me rendre hermétique à son dangereux pouvoir d'attraction. Mais mon corps semblait réagir autrement, indépendamment de ma volonté et clairement contre elle ! « Tu es une romantique chevronnée en mal d'amour ? Ou d'autre chose ? » Le rouge me monta au joues, mais je m'abstins de tout commentaire. Il n'était arrivé que depuis quelques jours, mais un jeu diabolique de chat et de souris nous avait lié, dès les premières minutes, et atteignait clairement une de ses apothéoses en ce moment même. J'avais la sensation que répondre était une mauvaise idée … une très mauvaise idée même. « Tu fais clairement moins la maligne maintenant … à moins que mon sex-appeal ne te laisse sans voix ? » Je ne sus m'en empêcher davantage et entrouvris les lèvres afin de lui fermer son clapet. Mais, je n'eus le temps d'articuler un son, et sa bouche s'écrasa sur la mienne, en un baiser aussi inattendu que brutal. Pourtant, et malgré la manière, je fus happée, aussi vite qu'envoûtée. Je fondis dans ses bras, dont il desserra l'étreinte, et ses mains se glissèrent sous mon haut de pyjama, caressant ma peau bouillante de ses doigts. Je haletai, surprise lorsqu'une porte claqua tandis que la voix de ma mère résonnait dans l'escalier. « Les enfants, je suis rentrée ! » Il redressa la tête, ses yeux azur plongés dans les miens, tandis que mon propre visage se déformait sous une colère grondante. Non pas envers lui, quoique … mais bien pour l'idiote crédule pour laquelle il venait de me faire passer ! « Sauvée par le gong » chuchota t-il en se redressant. Exaspérée et honteuse, je levais le genoux subitement, cognant son entrejambe avec une violence motivée par ma fureur. Il gémit de douleur avant de s'écraser par terre et je me redressai, satisfaite, un sourire triomphant sur les lèvres. « Je t'avais prévenu! » Puis, sur ces bonnes paroles, je filai, rejoignant ma mère avant qu'il ne se venge d'une manière que je ne parvenais à imaginer, si ce n'est celle qui me faisait maintenant fantasmer, à ma plus grande honte. Pourquoi fantasmer sur un mec pareil ? Pour son regard de braise, son corps d'apollon, et son sourire irrésistible ? Quoi ? Il était peut-être sexy, mais ça n'en demeurait pas moins un abrutit ! N'est-ce pas ?

« Je ne t'ai jamais parlé de lui auparavant ... peut-être parce que je manquais de courage, peut-être ... parce que j'espérais un miracle .... Oh ne te méprends pas ... je suis heureuse, incroyablement heureuse. Je vais me marier! Quelle femme pleurerait alors qu'elle court épouser un homme désiré? Mais ... te rends tu compte que j'ai du mal à organiser mon propre mariage? Je vois tant d'images, tant d'illusions perdues ... c'était toi que je voyais au bout de la nef, toi encore qui me glissait la bague au doigt ... Alors parfois ... je me dis que je ne devrais pas ... tu sais, l'épouser.  »

Il n'y avait plus aucun doute, et aussi affreuse qu'était la vérité, j'étais belle et bien jalouse de cette blondasse au bras de cet imbécile notoire. Les regarder se bécoter depuis une heure me rendait folle, d'autant plus qu'il coulait régulièrement une œillade dans ma direction, sans doute pour voir si son « sex-appeal » m'avait capturé de la même manière que toutes ces autres greluches. Alors, en plus de cette vision d'horreur, je devais également me coltiner ses soupirs et autres gémissements sur le canapé de mon salon ! Et évidemment, il avait profité de l'absence de ma mère pour faire jouer sa masculinité. « Dis moi Ayden, crois-tu que ta petite sœur pourrait nous amener quelque chose à boire ? » Sa petite sœur ? Sa petite sœur ! Ainsi, voilà comment il me présentait ? Allez savoir pourquoi, cette constatation me mise hors de moi. Sans un mot, je me levai, lui servis un verre d'eau puis me dirigeai vers elle, dont le minois poudré offrait un visage souriant et aimable, ce qui était clairement le contraire de ce que je devais moi même présenter. Je m'autorisai un petit sourire lorsque je fus à sa hauteur, sourire qui s'élargit lorsque l'eau s'en alla se fracasser sur son crâne. « Espèce de petite peste ! » Cria t-elle en se relevant brusquement. « Moi ? » répondis-je innocemment en battant des cils. « Et toi, toi tu ne fais rien ! » S'insurgea t-elle en regardant mon prétendu frère. « Non » En rage, elle quitta la pièce, gémissant et pleurnichant. Quoique j'imaginai sans doute cette dernière partie pour mon propre plaisir personnel. « Tu as vraiment le don pour les choisir » Commentai-je pensive. Ma colère était retombée, momentanément, tant je plaignais cette fille qu'il avait abandonné complètement, et pour une raison qui m'échappait. « Peut-être …Et si je te choisissais toi ? » Je retins mon souffle, avant de le regarder dans les yeux. « Ce serait nettement plus intelligent mais … peut-être que je serais celle qui te rejettera. » Il se redressa, félin, avec une telle confiance et un tel charisme qu'il balaya la mienne en un regard. « Et si je te disais que je suis fou de toi et que je ne m'en servais que pour te tester ? » Une joie indicible mais prudente m'envahit et je compris. C'était de la cécité mais j'étais bel et bien amoureuse de ce garçon aux yeux bleus océan. « Je dirais que tu es un imbécile » Soufflai-je tendue. « Alors dis-le » murmura t-il en inclinant la tête vers la mienne.

« En fait, tu es un imbécile … véritable, incroyable. Je suis peut-être heureuse mais, il m'a fallut des années. Des années pour m'en remettre. En fait … je t'aime toujours Ayden … profondément. Et elle ... lui ... je l'aime de tout mon coeur également. Alors ... je ne suis pas certaine de pouvoir t'oublier un jour complètement … mais je dois essayer... vraiment. Pour lui, pour moi, pour ma famille future même si tu n'en fais pas partit. Je dois cesser de souffrir, regarder l'avenir et non le passé, me souvenir de ton sourire et non de mes larmes. Je dois chasser la douleur … je dois ... »

 La porte s'ouvrit, et un agent apparut, le képi à la main et à la mine sombre. Je retins mon souffle, le dévisageant avec appréhension. Venait-il pour arrêter Ayden ? Avait-il recommencer à dealer, ou d'autre conneries de ce genre ? Il m'avait pourtant dit qu'il avait arrêté pour de bon depuis que nous étions ensembles, depuis quelques mois tout juste. En fait, il m'avait assuré qu'il avait arrêté dès qu'il avait mis les pieds dans cette maison il y a deux ans. J'allais ouvrir la bouche pour balayer mes craintes mais l'agent me devança. » Vous êtes bien la famille dans laquelle a été placé Ayden Sullivan ? » Je hochai la tête tendue. « Il y a un problème ? » « J'ai le regret de vous annoncer qu'il est décédé d'un accident de la route. Je suis désolé »  Ma vision se troubla, mon cerveau n'enregistrant que ces terribles mots qu'étaient décédé et accident. J'eus la sensation que mon cœur s'arrêtait, que mon corps se glaçait, que la douleur me broyait. Des larmes envahirent mes yeux, et mes jambes se dérobèrent sous mon poids, incapable de porter ma propre carcasse. J'entendis une voix, lointaine, mais je n'écoutais plus rien ni personne. J'avais mal. Je souffrais. C'était une mort lente, mais sans disparition. J'allais rester. J'allais vivre. Avec la sensation permanente d'être écrabouillée par mes sentiments, étouffée. Il ne pouvait être mort. Pas maintenant. Pas aujourd'hui. Il m'avait demandé de l'attendre. Était-ce vraiment lui ? Vraiment ? Ce ne pouvait, ce n'était … Non … je ne pouvais, ni ne voulais y croire. Et pourtant, mon cœur savait, mon cœur ou ce qu'il en restait. Je rouvris les yeux, ma vision se tâcha de sang ... une deuxième fois mon coeur se brisa et je sus que j'avais tout perdu.

« Je dois enfin te laisser partir. Je n'ai pas pu, ces sept dernières années, ayant ce besoin irrépressible, cette addiction de venir te parler tous les jours mais … Maintenant que j'ai réussit dans ma vie professionnelle, je dois m'épanouir dans ma vie sentimentale et si je me marie … je ne peux plus continuer à lui mentir et à lui cacher mes escapades. Je dois t'oublier, quoiqu'il m'en coûte et recommencer. Je te laisse partir Ayden … pour de bon »

Les larmes roulèrent sur mes joues tandis que je lâchais ma brassée d'orchidée rouge sur la tombe. Puis je me détournai, et m'en fût, la main sur la bague de fiançailles cachée dans l'encolure de mon pull, tandis que la nouvelle brillait à mon doigt, symbole du chemin emprunté.

En vérité, j'étais atrocement faible. Et je savais que, malgré tout, je reviendrais.



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Gold, Silver & Bronze
Sarah H-A. Ainsworth

Sarah H-A. Ainsworth




ﮦ ÂGE : Vingt-neuf ans
ﮦ ACTIVITÉ : Gérante de la patisserie familiale
ﮦ CÔTÉ COEUR : Il n'y aura toujours que lui...
ﮦ MENSONGES : 3693
ﮦ DISPONIBILITÉ : Je suis là assez souvent pour être dispo
ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Tumblr_ni8r6sSsSz1sbd8oto5_250
Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Tumblr_mzb1j3u1G61qattblo3_r3_250
I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.


one more night


Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Empty
MessageSujet: Re: Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. EmptyMar 5 Mar - 13:43

Ginni Goodwin Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. 3207319737 Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. 3510096238 :13: :08: :29:
ça fait du bien de la voir :09:
Re-bienvenue toiiiiii :18:
J'aime j'aime j'aime !!
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MessageSujet: Re: Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. EmptyMar 5 Mar - 13:47

Elle est tellement mignonne, je ne sais pas lui résister Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. 3510096238 Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. 3510096238
merciiiiii :13: :08: Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. 3510096238
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ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
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Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
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I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.


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MessageSujet: Re: Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. EmptyMar 5 Mar - 13:51

FÉLICITATION TU ES VALIDÉE
C'est une évidence, j'aime ton choix d'avatar, ta façon d'écrire, ton histoire Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. 3510096238 :09:
Tu peux maintenant créer ta fiche de lien, demander un logement, créer tes scénario, flooder, mais surtout rp !!!
En tout cas HAVE FUN !!
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MessageSujet: Re: Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Someone once told me you can do anything as long as you can dream it. It's not true. Empty

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