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Nikolaas † No one ever said it would be so hard

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Nikolaas † No one ever said it would be so hard Empty
MessageSujet: Nikolaas † No one ever said it would be so hard Nikolaas † No one ever said it would be so hard EmptyDim 19 Mai - 23:47



Nikolaas Demian Hudlow


car tu penses régir ton destin, toi qui est si orgueilleux, pense mêmechoisir ton existence. Jusqu'à ce que la fatalité ne te rattrape pour te démontrer à quel point tu as été prétentieux.


Mon histoire a débuté le 03 novembre 1981, sous une pluie torrentielle,, dans une lointaine contrée prénommée Chicago, me dessinant comme un américain. Également d'origine irlandaises, 32 printemps se sont écoulés depuis, le temps coulant et défilant à une vitesse défiant toute imagination. Je me suis façonné, et je suis désormais apte à assumer une personnalité qui m'est unique, mêlée de qualités qui me subliment, à savoir que je suis Impulsif, aventureux, imprévisible, déterminé, fidèle, mystérieux, attentif, empathique, charmeur, franc, protecteur, déterminé, à des défauts qui m'assombrissent, à savoir que je suis emporté, caractériel, orgueilleux, cassant, sarcastique, possessif et jaloux . Vous endormir, ou vous faire fantasmer sur un physique que des mots ne pourront véritablement esquisser dans votre esprit, serait vous faire du tort, ainsi je me contenterais de dire que je ressemble  étrangement à Colin O'Donoghue. Je suis donc bien un mâle. Vous ne l'aviez deviné ? Ma vie amoureuse est chaotique, mais je sais aujourd'hui m'intéresser aux femmes  et je suis épanoui. D'ailleurs, je suis célibataire, depuis quelques temps à savoir quelques jours, bien que ça n'interfère pas dans mon ma vie professionnelle. Je suis en effet marshall. En conclusion, et après ce petit retour sur moi-même, je pense être I want Hapiness.


Votre Secret
Une vie, une existence, un passé, une famille. Je suis un secret aux yeux de celui qui ne voit plus, de celui qui porte les œillères d'un accident qui m'aveugle. Ma vie et mon être ne sont plus que brumes, et je ne sais voir plus loin que ce qui glisse sous mon nez sans que l'odeur n'en soit savoureuse. La perdition. Une sensation douloureusement pour celui qui ne sait comment briser les propres tourments qui l'assaillent, celui qui ne peut être maître dans une tête qui lui échappe. Et je tâte le sombre qui m'embrasse, cette obscurité grandissante qui m'éloigne de proches qui ne signifient plus rien. Des visages, des minois inconnus, dont les sourires semblent hypocrites et dont les regards se parent de pitié. Rien n'est pire que de lire le pathétique lorsque l'on a la sensation de se noyer, regards qui poussent à snober les mains secourables qui peuvent pour aider à garder une tête hors d'une eau noirâtre. Puis, il y a une légère lumière, un sourire, un regard qui semble éveiller en mon âme cette sensation que le voile se déchire avant que tout ne s'éteigne de nouveau. Je ne dissimule aux autres et mon propre esprit est apparu comme mon ennemi premier, celui qui m'éloigne d'une vie et d'une réalité que je ne cesse de fuir. Car comment affronter les autres quand on ne peut se combattre soi même ?


Tics & Habitudes
† Nikolaas a un sérieux problème affectif depuis que sa mère est décédée d'un cancer lorsqu'il eut atteint l'âge tendre de l'adolescence, celui de douze ans. Profondément choqué, il se replia sur lui-même de manière inattendu et éprouve depuis énormément de mal à s'attacher aux autres † bien que doté d'une personnalité affirmée, il est doué d'une belle moralité, enseigné par une mère disparut, et s'obstine à suivre ses principes envers et contre tout. † d'avoir cadenassé son cœur ne l'empêche d'être doué d'une véritable empathie à l'égard d'autrui, qui le pousse à faire passer les autres avant lui même † s'il se préoccupe de la vie de ses pairs, il n'en va de même pour la sienne qu'il a tendance à mettre en danger par simple plaisir, à moins que ce ne soit pour provoquer un destin qu'il emmerde avec plaisir. Ainsi, c'est un amoureux des courses de voiture depuis sa plus tendre adolescence, une passion qui explique une grande dextérité au volant et une tendance certaine à outrepasser les lois les plus élémentaires de la conduite, au grand dam de son patron actuel † grand consommateur de la cigarette, c'est une habitude qu'il n'a pas même réussit à perdre en devenant amnésique. Et pourtant, on lui assure que ses poumons n'ont rien, ce qui peut être déstabilisant quand on sait qu'il fume au moins un paquet par jour † il est entré dans l'armée à dix-huit ans pour fuir ses propres démons, abandonnant sa famille ainsi que ses deux plus proches amis, Fauve et Dorian, sans cérémonie et en ne donnant que très peu de nouvelles les années qui suivirent. † il est devenu un Don Juan très rapidement, ne côtoyant les femmes que pour une nuit, excepté sa meilleure amie avec laquelle il couchait régulièrement avant de partir à l'armée † son rêve d'enfant, nourrit par les histoires de sa mère, se réalisa lorsqu'il eut vingt-quatre ans, à savoir devenir Marshall † il ne tomba jamais amoureux jusqu'à ce qu'on lui attribue une partenaire et ne sut donc réellement comment interpréter ce qu'il ressentait pour elle, développant la jalousie et la possessivité ainsi que l'obsession pour la première fois de son existence † il se sent particulièrement proche des enfants, malgré ses soucis affectifs, qui lui permettent d'oublier une souffrance passée liée à une mère disparue. Ainsi, il est très proche de ses nièces et neveux, avec qui il partage de nombreux délires † il a faillit adopter une petite fille à l'âge de vingt-et ans, avant de la confier à sa sœur, conscient que sa vie n'était un modèle et un terrain saint pour l'élever † amateur de caféine et de chocolat chaud, il lui arrive de craquer pour une tablette ou encore des sucreries, qui n'ont aucune incidence sur un métabolisme chanceux et un physique qu'il entretient régulièrement † il pratique la course à pieds et la natation, bien qu'étant un fan invétéré de base-ball dont il ne rate aucun match † il préfère les films historiques et reconstitués † s'étant éloigné de sa famille suite au décès de sa mère, il est aujourd'hui proche de ses frères et sœurs mais ne parvint à s'entendre avec son père qui désapprouve ses choix successifs, jugeant la vie de son aîné trop dangereuse † il a été touché par une balle six mois plus tôt, et les conséquences furent une amnésie qui effaça l'entièreté de son existence passée de sa mémoire †


De l'autre côté du Miroir
Pseudo ﮦ Irlande. Âge ﮦ parce que j'ai déjà vingt-deux ans et que le temps passe à une vitesse folleSexe ﮦ une jeune fille Où as tu découvert le forum? ﮦ je ne m'en souviens plus mais c'était par hasard.  quelles sont tes impressions? ﮦ je l'aime Nikolaas † No one ever said it would be so hard 3248139268. Désires tu être parrainé(e)?ﮦ écrire ici. Fréquence de connection ﮦ 7/7.  Un dernier mot? ﮦ Je me suis laissée tenter, tourmentée par le diable, par la passion et le regret. Je me devais de la refaire pour mon brun, c'était vital, nécessaire, et je vais y prendre un plaisir fou



Code:
<taken>Prenom Nom de votre célébrité</taken>  ﮦ <pseudo> prénom nom de votre personnage</pseudo>



Dernière édition par Nikolaas D. Hudlow le Sam 7 Sep - 14:42, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Nikolaas † No one ever said it would be so hard Nikolaas † No one ever said it would be so hard EmptyDim 19 Mai - 23:47






† Aimer, c'est douloureux, car en aimant, on donne de soi-même jusqu'à se perdre quand l'autre disparaît.

L'histoire est une galerie de tableau
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La souffrance déformait ses traits gracieux, anéantissant le bonheur dans ses yeux, celui qui l'avait noyé dans son eau limpide et d'un rose soutenu durant cette grossesse où elle s'était épanouie. Elle en oubliait cet enfant qui allait naître, celui qu'elle rêvait de tenir dans ses bras depuis neuf mois, celui qui ouvrirait un jour les yeux pour la mirer sans plus la quitter. Elle en oubliait la chambre qu'elle avait peint durant des heures pour ce garçon qui grandirait dans ce bleu sans originalité ainsi que ces dizaines de vêtement que son mari lui a cédé dans le seul but de faire plaisir à la femme de ses pensées. La seule pensée qui maintenait son esprit éveillé était un souhait, un désir hurlé à la femme d'un dieu puissant qui n'agissait en sa faveur. Elle conviait la mort à la visiter, à la libérer de cette odieuse douleur qui déchirait son bassin, goutte de sueur mêlée de larmes qui glissaient sur ses joues. Son souffle s'accéléra et ses hurlements troublèrent le silence qui n'était, anéantissant le calme d'un père qui angoissait. Ses doigts vinrent presser celui de sa femme, alors qu'il tentait vainement de lui parler, de lui changer ces idées obscures qui écrouaient ses prunelles. Il chuchotait le prénom de Demian, ce bébé qu'elle tiendrait dans ses bras d'ici quelques secondes. Mais elle ne parvenait à se concentrer sur ses paroles, ses boucles d'un noir soutenu se collant à sa peau moite alors que sa bouche s'ouvrait, ses lèvres se fuyaient dans le seul but de laisser cette souffrance qui l'anéantissait se répercutait dans la pièce d'un blanc soutenu. Elle n'en pouvait plus, flanchait alors que ses os se brisaient et que sa chaire, brûlée à vif, lui faisait vivre mille tourment inhumains. Les médecins se pressaient autour d'elle, lui sommant de se tenir tranquille, de respirer profondément, de laisser l'oxygène calmer un mal qui ne cessait de se répandre et de s'intensifier. Ses ongles pénétrèrent la paume d'un mari au bord de l'évanouissement, quand enfin, une infirmière lui fit savoir qu'on entrevoyait sa tête. Ses paupières battirent et elle entrevit de nouveau l'image de son petit garçon imaginé, repoussant cette volonté de mourir pour échapper à un enfer difficile à supporter. Un éclat de courage, une délivrance soudaine … puis une angoisse mortuaire. Les médecins s'affairaient, mais aucun son n'avait rejoint des hurlements mort sur ses lèvres pâles. « Il ne pleure pas ... » chuchota t-elle la voix brisée, « Pourquoi il ne pleure pas ! » cria t-elle hystérique en essayant de se relever. Son mari ne lui était d'aucune utilité, le regard suspendu, perdu dans ces gestes qu'effectuaient les médecins autour d'un enfant disparut. Et les larmes lui montèrent aux yeux face à ce qu'elle n'avait su prévoir, une perte qu'elle ne pourrait jamais encaisser. Mais elle ne parvenait à articuler un mot, alors que l'étreinte de son homme se reformait autour de ses doigts blancs. Et les sanglots redoublèrent, et les secondes s'écoulèrent, muées en une éternité où seul les battements de son cœur et les paroles de docteurs résonnaient. Et cette souffrance psychologique que lui assénait le ciel était infiniment plus dur et vile que cet accouchement qui l'avait anéantit. Elle mourrait à petit feux, sans l'aide de cette faucheuse qui avait choisit une autre cible. Elle s'agrippa à la blouse blanche de son époux, paniquée, avant qu'un hurlement enfantin n'envahisse soudainement la pièce. Son cœur manqua un battement avant de danser de nouveau dans sa poitrine, alors que ses pleurs envahissaient son visage. « Il va bien. » lui chuchota le médecin en lui tendant un bébé dont la tête disparaissait sous de longues mèches brunes plaquées contre sa peau. Elle le recueillit dans ses bras, et ses prunelles s'agrandirent, noyées par un amour intense et un soulagement à la hauteur de cette angoisse qui l'avait dévoré. « Demian .. » chuchota son mari en se penchant. Et elle l'entendit, cette petite voix intérieure qui lui sommait que ce prénom n'était sien. « Nikolaas … » murmura t-elle sans quitter son fils des yeux, «  je veux l'appeler Nikolaas. » Bien qu'étonné,  il acquiesça, prêt à tout pour le bonheur de la femme qu'il avait choisit. La seule qui savait que ce prénom représentait cette victoire de l'amour sur le destin. Car elle le tenait contre elle, contre ce sein sur lequel s'était refermé sa minuscule bouche, et personne ne saurait plus lui arracher son ange le plus précieux.

Les étoiles transcendaient la voûte d'un noir de geais, mais je n'entrevoyais aucune d'entre elle, les prunelles perdues dans cet océan d'ombres mouvantes. Je fermais les yeux quelques secondes avant d'inspirer les odeurs estivales à plein poumon, laissant ces quelques touches de peintures colorées maculer mon âme fascinée. Je penchais légèrement la tête, avant de croiser du regard une touche de lumière éclatante, dont l'éclat était rehaussé par ces points ombrés qui formaient des cercles autour d'elle avant de se perdre dans l'infini lactée. « Elle est l'étoile de tous les vœux. » murmura soudainement une voix, si familière qu'un sourire se dessina sur ma bouille infantile lorsque je me retournais avec la vivacité offerte aux enfants. « Tu sais … elle est celle vers laquelle on se tourne quand on désire quelque chose avec une telle force qu'on a besoin de se confier … et de le voir s'exaucer. » ajouta-elle en s'installant sur mon lit, avant de tendre des bras dans lesquels je courus me réfugier, en faisant attention à son ventre rebondit. Je ne tenais à faire mal à cette petite sœur qui grandissait dans ce dernier, et redoublait de précautions lorsque je m'approchais d'une maman qui n'appartiendrait bientôt plus à moi seul. Si une part de moi en était malheureuse, la seconde éprouvant une fascination joyeuse à l'égard de cette enfant que je pourrais chérir et protéger. « Tu en as fait des vœux toi maman, qui se sont réalisés ? » lui demandai-je en m'installant confortablement sur ses genoux. Ses doigts vinrent effleurer ma joue alors qu'elle chuchotait, les yeux soudainement humides. « Oui … le jour de ta naissance, j'ai souhaité de tout mon cœur que tu ne rejoignes pas le ciel pour que tu grandisses à mes côtés. » Je haussais légèrement les sourcils, intrigué par sa réponse. « Mais pourquoi le ciel me voulait alors que je venais juste d'apparaître ? » Un sourire s'esquissa doucement sur sa bouche, avant que ses lèvres ne se déposent tout doucement contre mon nez. « Parfois … des épreuves terribles nous attendent pour nous endurcir et nous préparer à cette vie qui, souvent, est trop difficile. Alors, j'ai dû souffrir pour avoir la force de me battre pour toi, pour comprendre que je pouvais te perdre si je me conduisais comme une égoïste. » Je plissais mes sourcils bruns, alors que mes prunelles d'un myosotis troublé se déposait sur son visage gracile. « Je ne comprends pas maman … » avouai-je d'une petite voix alors qu'elle me serrait contre sa poitrine. « Qu'importe … nous sommes heureux maintenant et je ne te quitterais jamais mon tout petit ... » Je me tus, renfermant mes doigts sur son haut, les yeux clos contre cette épaule où elle avait mené mon visage de ces doigts qui se perdaient dans mes mèches brunes. « Dis moi maman ... » fis-je en me redressant brusquement, « pourquoi papa m'appelle toujours Demian ? » Sa paume embrassa ma joue avant que ses bras ne retombent contre mon dos. « Ton papa rêvait de t'appeler Demian mais au dernier moment, je savais qu'il fallait que je t'appelle Nikolaas. » me confia t-elle en me regardant avec une intensité mêlée de joie et de douleur. « Pourquoi ? » La curiosité vrillait mon estomac, alors que je retenais mon souffle, prêt à entendre les raisons d'une identité. Mon identité. « Et bien … Nikolaas signifie victoire … et tu es ma plus belle victoire mon ange. » Ses paroles se logèrent dans mon être, alors qu'un véritable sourire de bonheur s'affichait sur mes traits juvéniles. Je la serrais fort contre moi, alors qu'elle se mettait à chanter tout en me berçant, en caressant une tête qui reposait à présent contre sa poitrine. Le sommeil me chatouillait les yeux, me poussant dans les bras de Morphée sans quitter ceux de ma mère. J'étais un enfant heureux, comblé, amoureux de cette maman que je regardais avec admiration et vers laquelle je ne cessais de me tourner. La seule certitude qui me touchait était celle que je ne pourrais jamais plus vivre sans elle.


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« Tu serais magnifique en princesse Zelda. » « Tu crois ? Peut-être devrais-je demander à maman de m'acheter sa robe rose, elle est tellement belle ! » « Et une perruque, parce que toi, tu es brune ! » Je quittais des yeux les visages de mes deux amis, porté par des pensées qui ne concernaient aucun jeux vidéos, happé par ma vie de famille déréglée des quelques derniers jours, alors que je sentais indubitablement ma mère s'éloigner, en prétextant me sauvegarder de cette quinte de toux qui ne cessait de la secouer. Mes doigts se resserrèrent autour de ma batte de base-ball, posée négligemment sur mon épaule, alors que je donnais un léger coup de pied dans une motte de terre qui s'était perdue sur ce trottoir que nous suivions depuis quelques minutes, après être sortit de l'école. Mes mèches brunes voltaient sur mon front marbré, alors que mes yeux d'un bleu soutenu se perdaient dans ces dalles de béton qui formait ce sol nous maintenant à l'abri de la folie des automobiliste. J'étais morne, privé d'une joie de vivre qui me faisait pourtant rarement défaut, car dévoré par une inquiétude et un mauvais pressentiment qui ne cessait de croître depuis quelques jours. Il était rare que je la vois si fatiguée, en proie à cette maladie qui ne désirait guérir, la privant de cette vivacité et de cette hyperactivité que je lui connaissais depuis toujours. Et je n'aimais la voir dans cet état végétatif, rêvant presque de me faire engueuler simplement pour avoir le plaisir de ne plus la voir souffrir et se tordre de douleur dans son coin, sans me laisser l'aider. « Ah non ! » hurla soudainement Fauve en s'accrochant à mon bras. « Link, c'est forcément Nik. Toi, tu es Ganondorf ! » décida t-elle en enroulant ses bras autour de mon bras. « Tu ne trouves pas que nous sommes le plus beau des couples ? » Dorian nous observa tour à tour avant de commenter, goguenard. « Nik te trancherait la tête plutôt que de la sauver. » « N'importe quoi ! Les chevaliers ne font jamais de mal à leurs belles ! » « Et depuis quand Nik est-il ton chevalier ? » « Bah depuis toujours ! De toute façon, tu ne comprends rien à l'amour, tu n'es qu'un idiot ! » Un sourire naquit sur mon visage, alors que mes angoisses s'atténuaient pour laisser place à cette naïveté infantile qui refermait ses doigts douceâtre autour de moi. Ne disait-on pas que les mamans étaient des fées qui ne s'arracheraient jamais à leurs enfants ?  « Moi, je propose que l'on règle vos différents directement à la maison devant mario. » proposai-je, désireux de me changer les idées et de profiter de plaisirs simples sans laisser l'ombre dévorer mon esprit. « A moi Peach ! » s'écria la petite fille en sautant, avant de courir, suivit de Dorian et de moi même, vers ma maison qui s'érigeait de l'autre côté de la rue. La porte fut repoussée avec violence, les chaussures retirées, sous peine de se faire attraper, et nous montâmes les escaliers quatre à quatre. « Nikolaas ! » Une voix féminine qui me fit tourner la tête, tandis que je leur faisais un léger signe de la tête.  « Je vous rejoins dans cinq minutes. » Fauve et Dorian pénétrèrent ma chambre tandis que je redescendais, rejoignant la cuisine dans laquelle ma mère se tenait assise, une cigarette entre ses doigts fins. Un sourire barra son visage aux traits tirés. « Tu n'as pas l'air bien ... » commentai-je en m'approchant, effleurant sa joue de mes lèvres.  « Où est papa ? » fis-je en le cherchant vainement des yeux dans ce salon sur lequel s'ouvrait la pièce dans laquelle nous nous tenions. « Il est allé voir Thomas bien sûr. » Je levais un sourcil, assombris par cette perspective, tandis que je m'asseyais sur la chaise de bois qui faisait face à celle de ma mère. Je ne comprenais ces histoires d'adulte, simplement conscient que mon père avait aimé une autre femme avec laquelle il avait eu un autre fils auquel il donnait beaucoup de son temps. Je ne l'avais jamais rencontré, mais, bien qu'il volait mon père à ma propre famille, je ne parvenais à la haïr. Je refusais simplement de le voir, de peur de faire de la peine à ma mère qui souffrait de cette situation sans me l'avouer. Je me redressais légèrement avant d'entourer son cou de mes bras et de la serrer, conscient que cette réponse avait dû l'assassiner. Mais elle toussa subitement, me repoussant du plat de la paume tout en soufflant. « Fauve et Dorian sont avec toi ? » Je hochais légèrement la tête, décontenancé, avant de murmurer, la voix brisée.  « Maman … tu m'aimes toujours n'est-ce pas ? » Des larmes perlèrent dans ses yeux, si soudainement que j'en plissais les miens, frappé par la foudre et la culpabilité d'avoir osé suggérer que ce n'était plus le cas. « Oh mon amour ... » gémit-elle avant de m'attirer contre elle, « pardonne moi … je … j'ai tellement peur que tu en viennes à me haïr, je ne veux simplement pas que tu souffres trop. » Mes mains s'enfoncèrent dans son dos alors que je murmurais.  « Je ne vais pas m'effondrer si je tombe malade maman. Et je préférerais l'être plutôt que de te voir t'éloigner et t'enfermer dans ton chagrin toute seule. » Je reculais légèrement la tête, avant d'affirmer.  « Je suis assez grand pour te protéger. » Un nouveau sourire, tandis qu'elle essuyait ses larmes. « Je suis chanceuse de t'avoir … vraiment. Mais si tu commençais à jouer les super-héros en prenant soin de ta petite sœur le temps que je finisse de préparer le dîner ? » Je hochais la tête, avant de la laisser, rejoignant cette enfant que je conduisais dans ma chambre, face à la console. Wen' aimait à nous voir s'amuser, éprouvant une véritable fascination pour ces voitures qui filaient et lâchaient des bombes. « Nik, il t'a mis Bowser ! » Je haussais les épaules, avant de voir le personnage de Luigi collé dans sa voiture.  « Avec un dinosaure, je ne peux que le réduire en bouillie. » commentai-je avant d'attraper ma manette. Mais je me fis de loin distancer, incapable de me concentrer, sans arrêt appelé par une sœur qui désirait des explications ou bien qui sautait sur mes genoux. J'en oubliais même momentanément ma mère, interpellé par plusieurs choses à la fois, dont les deux filles, qui s'amusaient à faire les pom pom girl lorsque Fauve se fit un devoir de m'encourager au détriment d'un Dorian furieux. « Mais tu vas cesser ! Pourquoi tu prends toujours le partit de Nik ! » « Parce qu'il a un sourire magnifique. » fit-elle en lui tirant la langue. Et j'éclatais de rire devant sa mine déconfite, avant de gagner ma première course de la soirée, ce qui poussa Fauve à m'embrasser copieusement sur la joue. Mais l'insouciance, hésitante et pourtant combative, finit toujours par mourir.

La panique se dessinait dans mon esprit tandis que je poussais toutes les portes une à une, sans apercevoir son visage, son sourire, sans même entendre cette voix qui chantonnait lorsqu'elle vaquait dans la maison, pas plus que cette toux qui abîmait ses poumons. « Maman ? » Un hurlement de désespoir tandis que mon sac à dos venait frapper le sol en un fracas assourdissant. Mais une porte claqua soudainement, attirant mon attention alors que je courrais dans l'escalier, les dévalant jusqu'au vestibule avant de m'arrêter soudainement. La silhouette de mon père s'y découpait, accompagnée de mes petites sœurs qui rentraient également de l'école. Wen' se réfugia aussitôt dans mes bras, s'y jetant avant de presser sa tête à mon épaule tandis que Léna me regardait avec cette étincelle de tristesse qui me fit comprendre sans que mon père n'ait à expliquer. Alors j'ai tourné les talons, gardant la plus jeune dans mes bras tout en montant dans la salle de bain, aidant à se débarbouiller. Du haut de ses cinq ans, elle avait du mal à se hisser pour se regarder dans le miroir, ses mèches brunes voletant autour de son minois alors que mes doigts se refermaient sur le lavabo. « Dis … maman va bientôt revenir pas vrai ? Elle va pas rester longtemps avec ces 'sieurs qu'elle connaît pas ? » Je secouais la tête, avant de sourire rassurant, m'accroupissant près d'elle. Je capturais ses doigts dans mes paumes avant de la regarder dans les yeux. Des prunelles d'un même bleu. « Tu penses vraiment que maman pourrait nous laisser ? Jamais. Elle reviendra très vite je te le promet. » Elle pressa mes mains avant de se jeter à mon cou, me pressant aussi fort qu'elle le pouvait. « Nik … je la verrais toujours alors ? » « Toujours. » lui promis avant de refermer mes bras autour d'elle, la serrant contre moi. Et pourtant, je ne me sentais rassurer moi même, perturbé par un séjour à l'hôpital que je n'aurais imaginé. Wen' ne vit pas mon mal être, se contentant de me suivre comme une ombre, ayant besoin d'être rassurée inconsciemment et de sentir une présence auprès d'elle durant une absence qui nous pesait. Et j'étais incontestablement la personne qui lui était la plus proche, celle en qui elle plaçait une confiance quasi aveugle, en ce frère qui ne cessait de lui céder ses plaisirs sans hésiter à l'ignorer lorsqu'elle était, comme elle se décrivait elle-même, une vilaine petite fille. Et mon père ne nous était d'un grand secours, anéantis par une pensée qui le détruisait et qui nous touchait, probablement parce que nous imaginions des choses qui nous effrayaient. Et tandis que je venais enfin de m'allonger dans mon lit, les yeux rivés sur le plafond qui semblait esquisser de ses ombres ces angoisses qui m'agitaient, j'entendis le léger bruit d'une porte qui s'ouvrait, avant qu'une petite silhouette ne s'introduise, peluche à la main, dans la pièce. « Nik … je peux dormir avec toi ? » gémit la plus jeune de la fratrie d'une voix larmoyante. Mes prunelles s'agrandirent, touchées. « Oui, viens vite. » Je rabattis la couverture et elle courut se réfugier dans le matelas, en serrant sa peluche contre elle sans me quitter du regard, la tête posée contre l'oreiller. « J'ai peur quand maman me dit pas bonne nuit... » souffla t-elle. Mon cœur se serra violemment, et j'essuyais du pouce les quelques larmes qui roulaient sur ses joues. « Tu pourras rester avec moi jusqu'à ce qu'elle revienne. » cédais-je avant qu'elle ne balance soudainement ses bras autour de ma nuque, me giflant au passage. Je grognais de douleur, mais elle n'en eut cure, chantonnant des remerciements dans mon oreille avant d'éclater soudainement en sanglot. Désempara, je la tins contre moi tout en lui racontant une histoire de princesses et de dragons, afin de l'aider à se calmer. Plusieurs minutes furent nécessaires avant qu'elle cesse de renifler, puis qu'elle s'endorme. Je soufflais légèrement, laissant ma main contre sa chevelure avant de m'endormir à mon tour.

Une main se pressa dans mon dos, m'enjoignant de pénétrer la pièce qui s'ouvrait devant moi. Je me sentais intimidé, légèrement gauche dans cet espace d'un blanc désagréable, d'un agressif tel que la noirceur semblait, en cette seconde, profitable à cet enfer dans lequel ils l'avaient enfermée. Mais plus encore, je craignais de rencontrer ses prunelles d'un bleu terni et d'apprendre ce que je me refusais à comprendre. Mais, accablé par le manque et la souffrance due à son départ précipité depuis lequel nous avions été interdit de la revoir, quelques semaines plus tôt, je finis par lever légèrement les yeux afin de voir celle que mon père m'avait emmené visiter, seul. Alors, je me figeais douloureusement, bouleversé de voir cette silhouette amaigrie qui disparaissait, avalée par ce lit d'hôpital dans lequel elle semblait retenue prisonnière. Ses beaux cheveux noirs s'étaient effacés, brûlés par cette maladie terrible qui l'avait frappée, un cancer agressif qui l'affaiblissait, en plus de lui donner cette toux et ces douleurs dont elle avait été victime sans se plaindre. A présent son crâne luisait, un œuf lumineux qui disparut lorsqu'elle se tourna légèrement vers moi. Ses prunelles, d'un brun chaud, étaient ternes et ses joues si creuses qu'elle semblait ne rien avoir avalé depuis qu'elle avait quitté notre maison, depuis qu'elle s'était laissée entraîner dans ce cauchemar peint de blanc. En vérité, elle était si mince qu'un souffle de vent aurait pu la balayer et la faire disparaître. . Le chagrin m'envahit brusquement et les larmes me montèrent au yeux, menaçant mon visage d'une invasion que je refusais farouchement. Un faible sourire, si léger, né d'un élan de courage désespéré … Elle tendit la main vers moi, ses longs doigts squelettiques se dépliant dans ma direction, afin que je la rejoigne. J'hésitais … peu certain de reconnaître cette nouvelle version d'elle même, si décharnée qui sentait la mort. Je voyais cette dernière rôder autour de sa proie, pressée de m'enlever l'être sans lequel je ne savais vivre et m'épanouir et je ne tenais pas à m'en approcher, terrifié. « Nikolaas … viens mon chéri ... » souffla t-elle de cette voix si froide, si différente de ces inflexions sensuelles et chaudes avec lesquelles elle me contait ces contes avec lesquels elle avait elle même grandit étant enfant. « N'ai pas peur mon amour … » Ce fut la lueur qui écroua ses pupilles, cette tristesse si sombre qui noya ses yeux qui me convainc. Je dessinais un pas vers elle, timidement, avant de glisser ma main dans la sienne. Ses os étaient palpables, ajoutant à ce chagrin violent qui tenait à me submerger. Elle ne la serra pas mais souris avec douceur. Un vrai sourire qui me rappelait ceux de ma maman. Je pressais mes doigts sur sa main avant de me forcer à esquisser ce même dessin, afin de la soulager et de la rassurer, aux travers de mes larmes.« Mon chéri … il faut que tu me promettes que tu veilleras sur tes sœurs et ton papa quand je ne serais plus là … » J'eus la sensation que mon cœur essait de battre, qu'il chutait dans mon estomac alors que ses mots résonnaient, telle des plaintes  aiguisées, dans ma tête affligée. « Tu ne vas pas partir ! »  me rebellais-je soudainement, en retirant violemment ma main, afin d'être certain de ne pas être amené à croire et à penser de telles inepties. « Tu n'as pas le droit de partir ! » hurlais-je soudainement paniqué tandis que les larmes s'échappaient finalement abondantes, de mes yeux noyés. « Nikolaas ... » reprit-elle patiemment, de cette voix si douce et si fragile, « si je pouvais, je ne te quitterais jamais ... » J'avais la sensation de souffrir le partir, et me rembrunis, me repliais sur moi même, trop lâche pour affronter une vérité qu'elle tentait de me faire comprendre. « Tu mens ! » m'énervais-je au bord d'un précipice, « tu vas nous abandonner, je le sais. Papa essaie de le cacher mais je sais que tu vas mourir ! Et tu n'as pas le droit ! »  Je me raccrochais à cette idée, incapable d'accepter le fait qu'elle puisse disparaître. Le mot même de « mourir » s'était brisé dans ma bouche, alors que la fureur m'avait aidé à prononcer l'inéluctable, inacceptable.  Elle était la personne que j'aimais le plus au monde, je ne pouvais tout simplement pas imaginer mon existence sans elle. Et que deviendrait alors Wen et Léna ? Ma petite sœur qui peinait tant à s'endormir sans sa mère, qui pleurait chaque soir dans mes bras simplement parce qu'elle ne cessait de l'appeler silencieusement ? Que deviendrions nous sans elle ? Et je tremblais lorsque ma bouche s'entrouvrit de nouveau. « Si tu pars … je te détesterais pour toujours ! » hurlai-je avant de quitter la pièce, m'enfuyant de toutes mes jambes. Je n'entendis pas son cri, me réfugiant sous un chariot d'infirmière quelques couloirs plus loin pour pleurer à mon aise sans que personne ne me voie. Quelques dizaines de minutes suffirent pour que mes larmes se tarissent, et je ramenais mes genoux contre mon torse, les pressant de mes bras enroulés autour de mes jambes. J'entendais de nombreuses voix commenter la maladie de tel ou tel patient, alors que certaines personnes, des visiteurs, se plaignaient et paniquaient suivant le diagnostique. Mon menton se déposa entre mes genoux, et mes pensées convergèrent vers ma mère. Je ne savais combien de temps s'était écoulé depuis que je m'étais calfeutré derrière cette nappe … mais j'avais besoin de la voir soudainement, de la convaincre de se battre en lui disant de le faire pour nous … par amour. Mes muscles étaient endoloris lorsque je me dépliais pour m'extraire et je me mis à courir, indifférent au regard de ces docteurs dont certains tentèrent de m'arrêter. Mais lorsque j'arrivais à la porte de sa chambre, je vis papa pleurer en tenant sa main, raide et immobile. Je blanchis … et mon cœur se fracassa en mille morceaux avant de rejoindre mon estomac. « Maman ? »J'étais enroué et ma gorge me faisait souffrir à chacune des syllabes prononcées. Je ne fis pas attention au regard de mon père, courant vers ma mère avant de voir son visage. Ses yeux s'étaient fermée et son visage semblait repose dans les abîmes éternelles d'un lointain où nous n'étions pas. Mes sanglots redoublèrent avec violence.« Maman … réveille toi ... » J'arrachais sa main à celle de mon paternel, avant de la secouer avec une brusquerie infantile. « Maman je te demande pardon, ne pars pas … je te déteste pas ! »  Mais ni les larmes, ni les supplications ne suffirent. Elle ressemblait à une poupée en chiffon, toute vie l'ayant désertée sans que je ne sois là pour la protéger … sans que je ne sois présent pour l'aider. Je n'avais pas été assez fort … J'avais même été si faible que je lui avais balancé des horreurs pour tout adieu.  « Maman ! » Mon hurlement fut étouffé par l'épaule d'un père qui m'emprisonnant dans l'étreinte de ses bras dont je ne voulais pas. Et je me débattis, usant de mes poings et de mes ongles sans qu'il ne me relâche, sans qu'il ne me parle, attendant simplement avec une patience écœurante que je me calme. Mais je n'y arrivais pas. Elle était partit à cause de moi. Je lui avais brisé le cœur dans ses derniers instants, détruisant nos derniers souvenirs, détruisant peut-être son amour pour moi. Et je ne m'étais jamais sentit plus seul … plus détruit.



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L'histoire est une galerie de tableau


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L'histoire est une galerie de tableau
La plume glisse, elle court, elle tente de noircir ces feuilles de papier, les chapitres d'une vie qui s'envolent et que tu ne sais rattraper. Ces morceaux de parchemins s'éloignent et pourtant, tu te souviens, mémoire qui luit sous tes prunelles assombrie. Tu as vécu, quelques folles années, parfois tu aimerais les revivre, parfois les fuir. Mais quelle est cette enfance qui te chagrine ou que tu regardes avec mélancolie et nostalgie ? Quelle adolescente étais-tu pour devenir l'adulte que tu es ? Raconte … Raconte celui ou celle que tu as été, confie toi, n'hésite à parler et à partager cette vie qui a été. ( Tu peux le faire sous la forme d'un journal intime, de chapitre, d'une lettre, de milles manières différentes. Laisse libre court à ton imagination. Le minimum est de 500 mots.)




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Gold, Silver & Bronze
Sarah H-A. Ainsworth

Sarah H-A. Ainsworth




ﮦ ÂGE : Vingt-neuf ans
ﮦ ACTIVITÉ : Gérante de la patisserie familiale
ﮦ CÔTÉ COEUR : Il n'y aura toujours que lui...
ﮦ MENSONGES : 3693
ﮦ DISPONIBILITÉ : Je suis là assez souvent pour être dispo
ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
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Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
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I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.


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