AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Partagez

ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 10:12



Benedict Russel Powell


Silent my voice, I've got no choice, all the world I've seen before me passing by.


Mon histoire a débuté le 17 avril 1978, dans une lointaine contrée prénommée Londres, me dessinant comme un(e) anglais et américain. Également d'origine galloise, 35 printemps se sont écoulés depuis, le temps coulant et défilant à une vitesse défiant toute imagination. Je me suis façonné, et je suis désormais apte à assumer une personnalité qui m'est unique, mêlée de qualités qui me subliment, à savoir que je suis un gars sympathique et compréhensif, une personne digne de confiance, un patron tout aussi charmant qu’agréable à vivre, un amant formidable ,un ami prêt à risquer sa vie pour celles des autres, à des défauts qui m'assombrissent, à savoir que je suis un père absent et obtus, un ex-mari impossible et intolérant, un amant fuyant. Vous endormir, ou vous faire fantasmer sur un physique que des mots ne pourront véritablement esquisser dans votre esprit, serait vous faire du tort, ainsi je me contenterais de dire que je ressemble  étrangement à Sam Worthington. Je suis donc bien un(e) homme. Vous ne l'aviez deviné ? Ma vie amoureuse est chaotique, mais je sais aujourd'hui m'intéresser aux femmes  et je suis épanoui(e). D'ailleurs, je suis divorcé et amoureux, depuis quelques temps à savoir 10 ans pour le divorce, et un an pour le coup de foudre, ce qui interfère dans ma vie professionnelle. Je suis en effet responsable des urgences. En conclusion, et après ce petit retour sur moi-même, je pense être I live very well with.


Votre Secret
Le secret de Ben n’en est un que pour ceux qui le rencontrent à peine. Difficile de l’imaginer en le voyant comme ça, beau gosse, bourré de charmes et sûr de lui, mais Monsieur a perdu sa jambe droite quand il faisait encore partie de la Navy pour poursuivre ses études de médecine. Pendant la guerre en Afghanistan, lui et son détachement ont été attaqués par des talibans. Son meilleur ami, Jack, s’est pris une balle dans le torse, proche du cœur, et s’est effondré. Ben ne l’a pas abandonné, il l’a porté jusqu’à un lieu sûr, mais a récolté un projectile d’obus, ou quelque chose dans le genre, en plein dans sa jambe. Les deux hommes ont été rapatriés en urgence, et opérés. Quand Ben s’est réveillé, non seulement il avait été amputé de la jambe, sous le genou, mais il apprit également que Jack était mort pendant l’opération, ayant perdu trop de sang avant d’être pris en charge. Pour son acte héroïque, Benedict a reçu la Silver Star, et le Purple Heart pour sa blessure. Il a été déclaré inapte au combat, et porte une prothèse depuis près de dix ans à présent. Il ne cache pas forcément ce fait, mais n’en parle que si on le lui demande.


Tics & Habitudes
✎ Il déteste les médailles qu’il a reçues, elles sont cachées au fond d’un placard de sa maison ✎ Il lui arrive de se réveiller brusquement à cause de la douleur qu’il ressent encore, même si sa jambe n’est plus là ✎ Il a grimpé les échelons petit à petit ✎ Bien qu’ayant du mal à le montrer, il adore sa fille ✎ Il pense que son ex-femme est une harpie de la pire espèce ✎Il a la maladresse en horreur ✎ C’est un sportif, et malgré sa jambe, il n’a jamais cessé, il aime particulièrement la course à pied ✎ S’il est fatigué, il peut lui arriver d’utiliser une canne pour s’aider à marcher. Il s’en sert également pour terroriser les internes de son service s’ils font des conneries


De l'autre côté du Miroir
Pseudo ﮦ Cha Âge ﮦ 2 années de chat Sexe ﮦ Miaou Où as tu découvert le forum? ﮦ PRD.  quelles sont tes impressions? ﮦ Vous le savez déjà. Désires tu être parrainé(e)?ﮦ Non merci. Fréquence de connection ﮦ 7/7.  Un dernier mot? ﮦ ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 841265288 



Code:
<taken>sam worthington</taken>  ﮦ <pseudo> ben r. powell</pseudo>



Dernière édition par Ben R. Powell le Mer 11 Sep - 10:07, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 10:13





In your eyes, forsaken me. In your thoughts, forsaken me. In your heart, forsaken me.

L'histoire est une galerie de tableau


Je suis maudit.

Si, je vous assure, c’est la stricte vérité. Il n’y a qu’à voir le magnifique (vous la saisissez bien l’ironie là ?) prénom que ma mère a décidé de m’attribuer, sans laisser une seule seconde le choix à mon père. Benedict. Comme les œufs. En plus cette façon de les préparer culinairement est immonde. C’est américain, ça n’a rien d’étonnant. Attendez-vous régulièrement à ce genre de remarques avec moi. J’ai beau avoir la double nationalité, j’ai vécu jusqu’à mes dix ans au Royaume-Uni, j’en garde d’ailleurs un accent qui plaît fortement aux femmes. Je suis une sorte de James Bond en blouse blanche, et même si je n’ai plus d’armes entre les mains, j’arrive encore à sauver des vies, à ma manière.
Bref, revenons-en à moi si vous le voulez bien. Et même si vous ne le voulez pas, c’est mon histoire, mes règles du jeu. Souffrez en silence, merci. J’ai donc quitté mon cher Londres à dix ans pour venir habiter à Washington. Merci mère ! Ainsi je me suis retrouvé dans la capitale mondiale de l'hypocrisie et du léchage de bottes. Même si j'y étais déjà habitué par ma génitrice et son poste d'ambassadrice, qui devait donc représenter la couronne dans ces anciennes colonies, autant vous dire que mon appréhension à cette époque dépassait l'entendement. Mon père avait beau me parler régulièrement de son New Jersey natal, je n'avais jusqu'alors pas imaginé que je me retrouverais à fouler du pied la terre de ces cow-boys. Il m’a fallu un temps d’adaptation, puis je suis malgré moi devenu la coqueluche de toutes les filles de mon âge, avec mes boucles châtain et mon petit accent.

J’avais dix-sept ans, la côte dans tout le lycée, un avenir brillant devant moi. Oui, mais j’avais aussi la bêtise des jeunes de mon âge. « Je suis enceinte, Ben. » Voilà ce que m’annonçait ma petite-amie Ashley, le stéréotype même de l’adolescente américaine qu’on aurait pu trouver en Floride. Blonde, les yeux bleus, et un goût prononcé pour le mélodrame. « Je veux garder le bébé. » Mais bien sûr ! Et me tirer une balle dans la tête directement, non ? J’étais allé chercher conseil auprès de mon meilleur ami, Jack, et ce dernier m’avait simplement dit d’en parler avec mes parents. Malgré le mépris qu’ils pouvaient parfois m’inspirer, ils étaient un soutien sans faille à chaque épreuve, et ils m’aimaient, même s’ils ne savaient pas le montrer. Je n’étais pas non plus un expert en la matière avec eux, d’ailleurs. Le problème, quand votre famille est dans la politique, c’est qu’il ne faut absolument pas entacher sa réputation. Il y eut donc un mariage forcé pour les deux enfants que nous étions, et qui dit mariage forcé dit aussi « ils ne vivront pas heureux pour toujours et auront beaucoup d’enfants ». A vrai dire, nous n’avons même pas essayé de refaire d’autres enfants après cela, nous avions plutôt tendance à aller chacun de notre côté. Un nouvel arrangement. Enfin, disons qu’Ashley allait voir de son côté pendant que j’entrais chez les Marines. Jack m’y avait suivi, comme il ne savait pas trop quoi faire de sa vie, et moi j’espérais vraiment pouvoir étudier la médecine de cette manière. Il faut dire qu’au moins, en m’engageant, je ramenais un petit salaire, et nous en avions bien besoin avec une nouvelle bouche à nourrir. La première fois que j’ai pris June dans mes bras, j’ai senti que cette petite fille, ma petite fille, était le bien le plus précieux que j’aurais jamais sur Terre, et que je la protégerais de tout.
Mes études avançaient bien. Puis un jour, on a envoyé notre unité en Afghanistan. Jack et moi étions comme deux jeunes chiens fous. Excités à l’idée de participer à une guerre. Nous étions idiots, je m’en rends compte à présent. Et si je pouvais retourner en arrière, ou échanger nos places, je le ferais sans hésiter une seule seconde. On a bien vite compris l’horreur que c’était, quand il fallait ramener les corps de nos camarades pris en embuscade par ces Talibans de merde. Quand on voyait les cercueils de fortune qu’il fallait improviser pour pouvoir les ramener à leur famille au-delà du Pacifique. Jusqu’au jour où c’est nous qui sommes tombés dans un piège. J’ai vu la balle qui a traversé le corps de Jack comme s’il n’avait été qu’une poupée de chiffon, je l’ai vu tomber au sol et ne plus jamais se relever. J’étais à quelques mètres de lui, et tous les autres soldats me hurlaient de me mettre à l’abri, qu’on reviendrait chercher le corps plus tard. Mais moi je savais que plus tard, on risquait de ne rien retrouver. Alors j’ai couru vers lui, malgré les cinq kilos que je portais sur le dos, malgré l’arme dans mes mains qui pesait son poids elle-aussi, et j’ai ramassé le cadavre de mon meilleur ami, qui semblait déjà mort. Au loin, j’ai entendu le sifflement d’une arme qui lançait des obus. Je n’étais pas assez rapide, ralenti par le poids que je transportais, et un éclat a touché ma jambe. La douleur était fulgurante, et j’ai failli m’écrouler, mais quelque part dans ma tête, j’ai tenu bon. J’ai continué de courir, malgré ma jambe qui se rappelait à moi dès qu’un centimètre de muscle se contractait, malgré les balles qui pleuvaient au-dessus de ma tête, et j’ai réussi à rejoindre mon escadron. Alors seulement, je me suis effondré en hurlant de douleur, jusqu’à ce que les ténèbres m’engloutissent.

J’ai vingt-deux ans. Je me réveille dans un hôpital militaire. Les muscles de ma jambe me tirent, j’ai mal, je voudrais me lever. Oui, mais voilà, je découvre l’effroyable vérité. Ma jambe droite n’était plus qu’un souvenir, coupée sous le genou. Aussitôt des médecins se sont précipités vers moi, m’ont dit de rester calme. Je m’étais enquis de Jack, et on m’avait annoncé qu’il était encore en vie quand j’avais réussi à le ramener, mais que, malheureusement, son cœur avait cessé de battre pendant l’opération visant à le soigner, et que l’organe n’était pas reparti. Nouveau coup dans la tronche, non seulement tu perds ta jambe et une partie de ta mobilité, mais en plus tu perds ton meilleur ami. Content de t’être réveillé, n’est-ce pas Ben ? C’est ce moment-là que choisit une petite tornade blonde de quatre ans pour débouler dans la chambre en bousculant tout le monde, y compris son imbécile de père. Ma June, mon rayon de soleil. « Papaaaaa ! » Je la réceptionnais dans mes bras comme je pouvais, tombant sur le dos contre le matelas. J’avais beau être à bout de forces, je parvins tout de même à la soulever au-dessus de moi et à la faire planer, tout en imitant le bruit d’un avion. Derrière elle, Ashley levait les yeux au ciel, comme si le comportement que j’avais avec ma fille la désespérait chaque jour un peu plus. Pourtant, lorsque je tournai finalement mon regard vers elle, je pus lire autre chose sur son visage. De l’inquiétude, et du soulagement. Dans les semaines qui viendraient, pour la première fois depuis longtemps, nous partagerions le même lit et retrouverions un temps les sentiments qui nous avaient liés au tout début de notre relation.
Que pourrait-il m’arriver de pire à vingt-deux ans pour que vous compreniez à quel point je suis maudit ? Eh bien, plonger dans l’alcool pour oublier souffrance physique et psychologique peut-être ? Les cauchemars ne cessaient d’envahir mes nuits, et la journée, la douleur m’accaparait sans cesse. J’ai pris des antidouleurs pendant un temps, jusqu’à ce que je me sèvre de moi-même. En tant que futur médecin, je savais pertinemment ce que je risquais. Mais un petit verre n’avait jamais fait de mal, n’est-ce pas ? Jusqu’au jour où on tombe plus bas que terre. Jusqu’au jour où, à vingt-cinq ans, incapable de faire plus de quelques pas le matin sans avaler un bourbon, vous vous rendez au travail le matin, vous devez assister un chirurgien pour une opération importante, une jeune adolescente, une rouquine qui vous donne envie de sourire rien qu’à ses yeux rieurs, et à cause de vous et de votre foutu alcoolisme, la jeune demoiselle meurt sur la table parce que vous n’avez pas les idées assez claires pour faire quoi que ce soit. Ce souvenir allait me hanter à jamais. Et encore, je n’avais pas idée à quel point. Ce fut l’élément déclencheur, évidemment. Je venais de risquer ma carrière, et il n’y aurait pas eu ma mère, je l’aurais perdue pour de bon. Être le fils d’un diplomate apporte quelques avantages, entre autre le fait de pouvoir faire effacer cette énorme erreur de mon passé. Je devais quitter la capitale par contre, aussi ai-je obtenu de finir mon internat à Chicago. Cette même année, Ashley me supportant de moins en moins, ma femme a fini par demander le divorce. Je ne lui en voulais pas et acceptais de bon cœur. Mon seul regret fut qu’elle emmena June avec elle au loin, à Seattle. L’année suivant, elle se remaria, avec un homme qui la traita sûrement bien mieux que moi. Notre histoire avait longtemps été un leurre pour ne pas salir nos parents, il était temps que nous commencions enfin à vivre pour nous. Chicago fut la ville de ma délivrance. J’arrêtais définitivement l’alcool, et me plongeait à cent pourcent dans mon travail.

« June ?! Mais qu’est-ce que tu fiches ici ? » Mon ton surpris n’était certainement pas à la hauteur de l’expression de mon visage. Ma fille de dix-sept ans se tenait devant ma porte, que j’avais ouverte après avoir entendu la sonnette. Elle tenait à la main un sac de voyage visiblement plein à craquer. Je ne la laissais pas longtemps sur le seuil de la porte et la faisait entrer dans la maison qui ne l’accueillait normalement qu’une partie de l’été et une semaine à Noël. June avait fini par péter un câble avec sa mère, ce que je pouvais comprendre tant elle avait essayé de me rendre dingue ces dernières années. Il était loin le temps du divorce à l’amiable et tout le tralala. Une harpie qu’elle était devenue, la Ashley frustrée sexuellement par son deuxième mari qui la cocufiait dès qu’elle avait le dos tourné, et aigrie aussi. J’évitais au maximum d’attirer son attention, car elle se mettait alors à tout me mettre sur le dos. Du coup, la rancune de sa mère s’abattait sur ma fille. Fille qui venait de fuguer et avait fait plus de mille kilomètres pour trouver refuge chez moi, le père qui s’occupait à peine d’elle. Et croyez-le bien, elle n’avait pas l’intention de repartir. J’étais verni. Surtout que je devais passer le coup de fil qui allait ruiner ma journée pour de bon. « Allô, Ashley ? »
Le jour-même, on m’annonçait ma promotion officiellement. Je le savais depuis déjà une semaine, je passais responsable du service des urgences. Mon mentor venait de partir à la retraite, et m’avait chaudement recommandé pour le poste. Malgré mon infirmité connue de la plupart, personne n’avait rien pu me reprocher à Chicago, tant j’étais devenu exemplaire. Alors que mon patron me donnait les clés de mon nouveau bureau, une infirmière amena une jeune femme. Je ne distinguai pas immédiatement son visage, mais mon cœur commença à battre la chamade. Mes yeux remontèrent lentement le long de ses jambes fines et gracieuses, bien que cachées par un pantalon noir comme si elle venait passer un entretien. Sa taille me fit déglutir sans bruit, et je passais très vite le regard sur sa poitrine de peur des effets que cela provoquerait chez moi. Son cou à la peau nacrée m’attira, et je dus faire tous les efforts du monde pour ne pas tendre la main vers elle pour toucher cette chair qui m’appelait comme les Sirènes l’avaient fait avec Ulysse. Et enfin son visage. Sa bouche que j’eus du mal à quitter des yeux, ses pommettes légèrement relevées à cause de son sourire, et ses yeux, ses yeux dans lesquels je plongeais sans jamais en ressortir. Immédiatement je la reconnus dans l’adolescente morte par ma faute, et si mon attirance me retint de prendre la fuite, ce visage connu, mais changé par les années, me glaça le sang. Mon sourire s’éteignit sur mes lèvres tandis que je jaugeais la nouvelle venue avec une froideur que je ne m’expliquais pas. « Ben, voici Erin Young, elle sera votre secrétaire personnelle et vous aidera dans votre travail. » Pardon ? C’était une blague, c’est ça ? Un blague de très mauvais goût, un cauchemar et j’allais me réveiller. Je clignais des yeux. Non, c’était réel, c’était l’enfer. Je ne parvins même pas à articuler quelques mots de bienvenue, mon sang bouillonnait dans mes veines. Ce n’était pas contre elle, non, c’était contre moi. Ma main droite se resserra sur ma canne, aujourd’hui était un jour où j’en avais eu besoin, à juste titre, et je leur tournai le dos à tous deux, m’éloignant avant de hurler contre cette ironie du sort devant tout le monde. Ce qu’elle allait penser de moi m’importait et ça n’aurait pas dû. Je venais d’avoir le coup de foudre, je le savais, et il avait fallu que ce soit pour une personne qui me rappelait combien j’étais obscurité et ténèbres tout au fond de moi, combien j’étais un être peu recommandable.
Cela fait un an que mon supplice dure. Un an que je supporte ses maladresses en serrant les dents, un an que j’évite de me retrouver trop proche d’elle de peur qu’elle entende les battements de mon cœur qui s’emballait dès qu’elle était dans mon champ de vision, un an que je serre les dents quand je vois les hommes qui viennent la chercher à la fin de ses journées en me maudissant d’être aussi anormalement exécrable avec elle. Ce n’est pas dans ma nature, ne l’a jamais été, sauf avec elle. Je ne me contrôle pas. Je l’aime, et je sais que je la fais souffrir avec mon comportement. Mais elle ne doit pas savoir, je suis celui qui a tué sa jumelle, et si jamais elle l’apprend, elle me détestera à jamais.




Dernière édition par Ben R. Powell le Mer 11 Sep - 10:08, édité 9 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 10:18

Je ne louche pas moi ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3689311317

Je te souhaite re bienvenue quand même parce que je suis le plus adorable des deux Arrow
bon courage pour cette nouvelle fiche ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 945058907 je suis sûre que tu vas tout déchirer encore ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 945058907
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 10:20

Tu veux un coup de canne ? On embête pas les infirmes, espèce de jeune délinquant ! ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 1997922972 (et pour ce qui est de tes yeux, je peux demander à ma secrétaire maladroite de t'occulter, si tu veux)
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 10:26

Je doute que tu puisses m'atteindre alors ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3689311317
Non, tu serais capable de m'accuser de la draguer sans preuve, je passe mon tour ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3689311317
Revenir en haut Aller en bas
Gold, Silver & Bronze
Sarah H-A. Ainsworth

Sarah H-A. Ainsworth




ﮦ ÂGE : Vingt-neuf ans
ﮦ ACTIVITÉ : Gérante de la patisserie familiale
ﮦ CÔTÉ COEUR : Il n'y aura toujours que lui...
ﮦ MENSONGES : 3693
ﮦ DISPONIBILITÉ : Je suis là assez souvent pour être dispo
ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_ni8r6sSsSz1sbd8oto5_250
Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_mzb1j3u1G61qattblo3_r3_250
I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.


one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 10:36

Ce n'est vraiment pas possible, vous êtes ingérables Rolling Eyes
Re-bienvenue toi ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 945058907 ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3510096238
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 11:58

Je ne suis pas ingérable, c'est lui qui fait le freluquet ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3689311317
Sinon, c'est ausculter que je voulais dire, pas occulter. Et tu peux la draguer, je m'en fiche pour le moment.
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 18:25

RE-bienvenue !!! =D
J'aime déjà ton perso *O* !!
Bonne continuation pour le reste de reste de ta fiche ♥ !!
Revenir en haut Aller en bas
Gold, Silver & Bronze
J-G. Skyler Roseburry

J-G. Skyler Roseburry




ﮦ ÂGE : 24 ans
ﮦ ACTIVITÉ : Officieusement, elle est barmaid, en réalité, elle est stripteaseuse
ﮦ CÔTÉ COEUR : Le coeur pris par des sentiments contradictoires
ﮦ MENSONGES : 4154
ﮦ DISPONIBILITÉ : Disponible ♥
ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 01/03/2013

one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 26 Juin - 19:00

Bon je te souhaite plus la bienvenue à force ça devient fatiguant Arrow
Tu veux un parpaing pour fêter ce nouveau compte ? Arrow
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyJeu 27 Juin - 6:52

han putain jamie, quel bon choix d'avatar ! nous faudra un lien ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 945058907
bonne chance pour ta fiche ! I love you
Revenir en haut Aller en bas
Gold, Silver & Bronze
Sarah H-A. Ainsworth

Sarah H-A. Ainsworth




ﮦ ÂGE : Vingt-neuf ans
ﮦ ACTIVITÉ : Gérante de la patisserie familiale
ﮦ CÔTÉ COEUR : Il n'y aura toujours que lui...
ﮦ MENSONGES : 3693
ﮦ DISPONIBILITÉ : Je suis là assez souvent pour être dispo
ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_ni8r6sSsSz1sbd8oto5_250
Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_mzb1j3u1G61qattblo3_r3_250
I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.


one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyLun 29 Juil - 8:01

Le délais pour ta fiche a expiré ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 558843162  aurais-tu besoin d'un peu de temps en plus pour la finir ? ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3510096238 
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMar 30 Juil - 16:55

bienvenue ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3063782546 
choix d'avatar extra ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 1685985038 
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 7 Aoû - 16:08

Bienvenue ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 2707236321
Revenir en haut Aller en bas
Gold, Silver & Bronze
Sarah H-A. Ainsworth

Sarah H-A. Ainsworth




ﮦ ÂGE : Vingt-neuf ans
ﮦ ACTIVITÉ : Gérante de la patisserie familiale
ﮦ CÔTÉ COEUR : Il n'y aura toujours que lui...
ﮦ MENSONGES : 3693
ﮦ DISPONIBILITÉ : Je suis là assez souvent pour être dispo
ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_ni8r6sSsSz1sbd8oto5_250
Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_mzb1j3u1G61qattblo3_r3_250
I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.


one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyVen 30 Aoû - 18:12

Aller ne t'inquiète pas elle est très bien cette fiche, pas de quoi la refaire une septième fois !!!!
j'ai donc l'honneur de te valider ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 945058907
Tu peux maintenant faire ta fiche de lien, tes demandes en tout genres,
flooder et surtout t'amuser ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 945058907ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 3510096238
N'oublie pas de recenser ton avatar !!! tu connais la musique I love you
Have fun ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. 2118358334
Revenir en haut Aller en bas
Gold, Silver & Bronze
Sarah H-A. Ainsworth

Sarah H-A. Ainsworth




ﮦ ÂGE : Vingt-neuf ans
ﮦ ACTIVITÉ : Gérante de la patisserie familiale
ﮦ CÔTÉ COEUR : Il n'y aura toujours que lui...
ﮦ MENSONGES : 3693
ﮦ DISPONIBILITÉ : Je suis là assez souvent pour être dispo
ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_ni8r6sSsSz1sbd8oto5_250
Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Tumblr_mzb1j3u1G61qattblo3_r3_250
I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.


one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. EmptyMer 11 Sep - 10:39

Impeccable I love you 
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé





one more night


ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty
MessageSujet: Re: ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Empty

Revenir en haut Aller en bas

ben ♣ les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Haley : Un véritable ami, c'est quelqu'un qui sait tout de toi, et qui t'aime quand même
» BIRDEE ◮ Tout est plus glamour quand vous le faites sur votre lit. Même peler des pommes de terre.
» Sarah Ϫ Notre vie est définie par des opportunités.. Même celles que l'on manque.
» EDWIG - la liberté est tout ce qu'il me faut
» ♔ Ce qu'il y a de plus beau en moi, c'est tout l'amour que j'ai pour toi

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Goodbye Daylight :: RUNNING ON SUNSHINE :: at the end. :: Rp-