Sujet: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 11:23
BAKER JORDAN ELENA
she ran away in her sleep and dreamt of paradise
ÂGE ◮ 28 ans. NATIONALITÉ ◮ Américaine. LIEU DE NAISSANCE ◮ Chicago. SEXE ◮ Femme. STATUT CIVIL ◮ Célibataire. OCCUPATION ◮ Strip-teaseuse. ORIENTATION SEXUEL ◮ Hétérosexuelle. GROUPE ◮ I want happiness. CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR ◮ Scarlett Johansson. TYPE PERSONNAGE ◮ Inventé.
VOTRE SECRET ◮ Cela fait maintenant un an que je travaille dans un club de strip-tease en tant que danseuse. Mon frère a eu un accident, et je suis la seule à m'occuper lui, il est sous ma charge. Seulement voilà, nous n'avions pas les moyens de payer les frais d'hôpitaux, et mon petit travail en tant que serveuse ne suffisait pas. Je suis passionnée de danse, et quand je suis tombée sur cette offre d'emploi où il recherchait une danseuse j'ai foncé. Je ne m'attendais pas à ce genre de danse et j'ai voulu partir tout de suite. Mais lorsque le patron m'a dit combien je serais payée, j'ai accepté le job, laissant tomber mon travail de serveuse. Je n'aime pas ce que je fais, ça me dégoute, seulement cela me permet de payer les soins de mon frère et de ne plus avoir de problèmes d'argent. Oui, il faut dire que ça paye vraiment bien... Personne n'est au courant, personne excepté Galaad, mon meilleur ami. Mais pour les autres je compte bien garder ça secret jusqu'à que je trouve une meilleure solution.
✎ j'adore le nutella, j'en mangerais des pots et des pots ! C'est une vraie drogue pour moi et ce depuis toute petite. Il m'arrive souvent de me poser devant la télé, mon pot de nutella contre moi et ma cuillère à la main, et là je me sens bien. ✎ je fume, pas beaucoup mais tout de même c'est une fâcheuse habitude que j'aimerai bien perdre. ✎ j'adore regarder des séries, je peux passer mon après-midi à faire cela mais j'aime aussi sortir, me promener, profiter un peu de la ville ✎ je suis passionnée de danse, je prenais des cours étant petite, j'apprenais le classique et le modern jazz, et je dois admettre que cela me manque ✎ je n'ai pas eu beaucoup de relations amoureuses, je n'ai jamais connu le grand amour bien que j'ai déjà aimé des hommes ✎ ma chanson préférée est sûrement LOVE de Nat King Cole, je ne saurais pas vous dire pourquoi, je l'adore tout simplement et elle me rappelle ma mère ✎ j'aime beaucoup la photographie, même si je n'ai pas énormément de temps pour m'y plonger un peu plus ✎ mon plus grand rêve serait de réussir une carrière professionnelle dans le domaine artistique ou de reprendre mes études de droit mais avec mon frère je n'ai pas le temps de me consacrer à tout cela, malheureusement.
△ The sun is gone, but I have a light. ~
Pointure ◮ 38. Couleur des yeux ◮ verts. Couleur des cheveux ◮ blonds. Taille en centimètres ◮ 160 cm. Corpulence ◮ normale
couleur préférée ◮ violet. film favoris ◮ le temps d'un automne (oui je suis fleur bleue parfois) mensonge ou vérité ◮ vérité, même si le mensonge aide parfois. ville ou campagne ◮ Les deux, impossible de choisir, il y a autant de bons côtés à la ville qu'à la campagne. Jour ou nuit ◮ Jour sans hésitation.
△ dancing in the dark ~
PRÉNOM OU PSEUDO ◮ Tik Tok ÂGE ◮ 19 printemps SEXE ◮ Une vraie fille (a) Où AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? ◮ Bazzart,mon ami. QU'EN PENSES-TU ? ◮ Il est super beau, vraiment j'ai accroché direct, puis j'adore le nom donné (fan des maroon 5 qui vous parle bonjour !) FRÉQUENCE DE CONNECTIONS ◮ 7/7. Je peux me connecter tous les jours mais peut-être pas rp tous les jours quoi... Normal. MOT DE LA FIN ◮
Dernière édition par Jordan E. Baker le Jeu 28 Fév - 10:32, édité 11 fois
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 11:24
△ but remember if you need to cry i'm here to wipe your eyes
Close your eyes, everything will be fine.
Je n'ai pas eu la plus belle des vies, mais je n'ai pas eu la pire non plus. Vous savez on ne peut qu'accepter son destin, notre vie est notre vie après tout et il y a des évènements qui nous échappent totalement. On voudrait changer les choses, revenir en arrière et faire tout différemment, mais nous ne pouvons pas. Alors nous acceptons notre destinée quelle qu'elle soit, car nous n'avons pas d'autres choix, tout simplement. Et j'essayais du mieux que je pouvais d'accepter la mienne.
Je suis née ici, dans la belle ville de Chicago. J'ai grandi sans père et pour être tout à fait franche je n'ai jamais eu l'impression d'en avoir souffert mais peut-être que je me voilais la face sans même le vouloir, une sorte d'autodéfense vous voyez ? En réalité quand dès l'enfance vous ne voyez pas votre père, son absence ne vous pèse pas, vous ne ressentez pas de manque, encore mois quand on a une mère comme la mienne. Puis j'avais vite compris que mon père n'était pas l'homme parfait, bien au contraire d'ailleurs, alors c'était sûrement mieux ainsi, sans lui. Cet homme n'avait jamais voulu d'enfant, et il n'avait jamais aimé vraiment ma mère. Il est parti du jour au lendemain, sans explication. Il nous a abandonné ma mère et moi, il avait quelqu'un d'autre dans sa vie et il ne voulait pas de notre famille mais ça je ne l'ai su que bien plus tard, à l'âge adulte. C'était tellement lâche une telle action, moi je n'avais rien demandé, j'étais arrivée sur cette Terre sans le vouloir et déjà on me reprochait mon existence. Mais je n'en voulais même pas à cet homme, je ne l'ai jamais considéré comme mon père mais plutôt comme mon géniteur. Je n'éprouvais aucun amour pour lui et c'est ce qui m'avait aidé à ne pas en souffrir. Et puis, j'avais une mère plus qu'aimante, une mère parfaite : douce, attentionnée, compréhensive, présente et généreuse mais surtout très courageuse. Cette femme était un modèle pour moi, elle l'a toujours été; je l'aimais plus que tout au monde et à elle seule elle s'était parfaitement bien occupée de moi. En étant plus âgé, je réalisais le courage qu'elle avait eu de m'élever sans père, sans personne d'autre pour l'épauler. Elle n'avait pas de famille à part moi. Elle était fille unique et en froid depuis des années avec ses parents, mais cela ne nous a pas empêché d'être heureuses. Ma mère étions très proches, elle a toujours été présente pour moi, elle a toujours su m'aider comme il le fallait. C'était une femme qui aimait donner, partager, elle était d'ailleurs bénévole dans une association et était appréciée par de tout le monde. Elle était un modèle pour tous, et malgré l'absence d'une vraie famille j'ai grandi dans une ambiance très chaleureuse. Je n'ai jamais eu à me plaindre de quoi que ce soit, car malgré une situation financière plutôt modeste j'ai toujours eu ce que je voulais. Dès l'âge de cinq ans j'ai pris des cours de danse classique, et je me suis découvert une vraie passion pour cet art ou ce sport cela dépend comment vous le voyez. Même si cela était un coût supplémentaire pour ma mère, le bonheur que cela me procurait lui suffisait amplement pour me faire continuer la danse. J'étais une enfant épanouie, qui réussissait dans tout ce que j'entreprenais. J'avais de bonnes notes à l'école, je dansais plutôt bien et je ne causais aucun tord à ma mère. D'une certaine manière j'essayais de lui rendre tout ce qu'elle m'apportait, elle méritait que je donne le meilleur de moi-même. Je n'avais qu'elle dans ma vie, du moins jusqu'à l'âge de 7 ans. Jusqu'à ces rencontres et ces changements. C'est à l'école primaire que j'ai rencontré Galaad, un jeune garçon qui avait un an de plus que moi et qui est devenu très vite mon ami. Vous savez il y a des rencontres qui nous marquent à jamais, et Galaad était l'une d'elle. Lorsqu'on est enfant la notion de l'amitié n'est pas la même que celle que nous avons adultes, elle est plus forte et plus pure. A 7 ans tout le monde peut être notre ami, on ne regarde pas l'apparence ou toutes ces choses qui sont au final d'une futilité immense. Non, nous acceptons la personne telle qu'elle est, du moment que celle-ci se montre gentille avec nous, pourquoi la rejeter ? Avec Galaad ça c'était fait comme ça, il n'y avait pas d'explication, nous avions bien accrochés, tout simplement. Mais j'étais consciente qu'il existait peu d'amitiés comme la notre, qui perdurent dans le temps malgré les disputes et malgré les changements. Nous avions beaucoup de points en commun, je pouvais lui parler de tout et il n'a jamais jugé le fait que j'ai grandi sans père, ça l'a certes étonné au départ, mais rien de plus. Puis ma mère adorait Galaad – c'était réciproque d'ailleurs - elle s'occupait de lui parfois comme si il s'agissait de son propre enfant. Il a toujours été bien accueilli chez moi, et c'était agréable d'avoir un tel ami, moi qui étais plutôt une enfant solitaire. J'avais trouvé une personne sur qui je pouvais compter et à qui je pouvais me confier, et ça faisait du bien, malgré mon jeune âge. Nous avions tout deux une passion en commun : la danse. Combien de chances il y avait pour que je tombe sur un garçon aimant la danse ? Nous étions fait pour nous rencontrer, c'était comme ça que je le voyais en y réfléchissant. Mais Galaad ne fut pas la seule personne à entrer dans ma vie. Non, un autre événement m'attendait, et pas des moindres... L'arrivée d'un petit frère dans ma vie. Ma mère avait toujours rêvé d'une grande famille, et elle n'avait pas l'avoir. Après le départ de mon père elle ne s'est jamais remis avec un homme, du moins pas de façon sérieuse, je crois que la lâcheté de mon père l'avait vacciné de la gente masculine. Mais elle n'avait jamais abandonné son rêve d'avoir plusieurs enfants, alors elle choisit la seule possibilité qui s'offrait à elle et qui témoignait au mieux de sa grande générosité : l'adoption. Et voilà qu'arrivait dans ma vie Rafael, mon petit frère. Bien que cela me fit un peu bizarre au début car je n'avais jamais eu trop l'habitude de partager ma mère, j'étais folle de joie d'être grande sœur. Il n'était peut-être pas mon frère de sang, mais c'était tout comme pour moi, Rafael était mon frère, peu importe ses origines, peu importe ce que les autres pouvaient dire. Il ne me fallu pas longtemps pour tomber 'amoureuse' de ce bout de chou. Nous étions une vraie famille, soudée et heureuse. Seulement la vie parfaite et le bonheur ne durent qu'un temps, malheureusement pour moi... J'étais à peine âgée de 23 ans quand ma mère apprit qu'elle avait un cancer du poumon. Cette nouvelle tomba comme un coup de massue sur moi. Je ne pouvais accepter le fait qu'elle soit malade, l'idée de la perdre me rendait folle. Ce n'était pas possible... Pas elle. Ce n'était pas juste, nous n'avions rien fait. Je ne comprenais pas pourquoi cela tombait sur ma mère, elle qui avait toujours été si généreuse et si aimante. Je me devais d'être forte, pour elle et pour Rafael. Je laissa tomber mes études de droit – j'avais toujours rêvé d'être avocate ou de faire une carrière dans tout ce qui touchait l'artistique – pour m'occuper de ma mère qui était épuisée à cause des traitements qu'elle prenait. Je pris un petit job de serveuse dans un café pour ramener un peu d'argent et aider ma mère, qui prenait sur les économies qu'elle avait fait tout au long de sa vie. Nous n'étions pas riches, et les soins étaient très chers, un peu trop même. Puis un an est passé... Et elle s'en est allée. Je n'avais que 24 ans, et je devais déjà affronter la perte de ma mère. Comment étais-je censée continuer à vivre après cela ? J'avais perdu mon repère, mon bonheur, mon tout... Si il n'y avait pas eu Rafael, je ne m'en serais pas relevée. Il était mon moteur. Mais encore aujourd'hui je ne m'étais pas totalement remise de la mort de ma mère. Elle me manquait terriblement... Il y avait un vide en moi que personne ne comblait. J'avais besoin d'elle, on avait besoin d'elle... Quelques temps avant qu'elle ne nous quitte, elle me fit promettre d'être heureuse malgré tout, de me battre pour mes rêves et de prendre soin de mon petit frère. Il n'était pas question pour moi de le laisser tomber, d'autant plus qu'il n'avait que 16 ans. Je n'imaginais pas à quel point ce devait être dur pour lui... Nous devions nous soutenir, nous épauler. Il ne me restait plus que lui, et je comptais tout faire pour qu'il puisse s'épanouir, et réaliser ses rêves. Son bonheur passait avant le mien. Seulement voilà, nous n'avions que ma mère comme parent, puisque Rafael était adopté et que mon père était parti et n'était jamais revenu. Étant majeure cela ne posait pas de problèmes, en revanche c'était différent pour mon petit frère. Il allait sûrement être placé en foyer ce qui était pour moi inconcevable. Je devais me battre pour récupérer sa garde. Personne n'allait nous séparer, personne. Je ne les laisserai pas faire ça, hors de question. Pour que Rafael soit sous ma garde, j'avais de nombreux dossiers à remplir, et les services sociaux devaient ensuite passer pour vérifier si mon frère allait vivre dans de bonnes conditions, si j'étais en capacité de m'occuper de lui mais aussi si voulait rester avec moi. Je savais que j'étais totalement capable de le prendre en charge, et je savais aussi que c'était le mieux pour lui. Grâce à mes quelques années d'étude en droit, j'avais sympathisé avec une brillante avocate qui passait souvent au café où je travaillais. Nous discutions beaucoup elle et moi, je lui disais à quel point le droit me manquait, et elle m'avait promis que si je comptais reprendre un jour mes études dans ce domaine là elle serait là pour m'aider. Elle connaissait ma situation, et elle n'avait pas hésité à me proposer son aide. Si j'avais besoin de quoi que ce soit, il me suffisait de l'appeler, m'avait-elle dit. Avec cette histoire de garde etc, il me fallait un coup de main, et elle était la mieux placée pour me dire quoi faire et comment remplir tout les dossiers que l'on m'avait remis. Elle n'hésita pas une seule seconde à m'apporter son aide, et après quelques mois le verdict tomba : j'avais réussi, j'avais la garde de mon frère. J'étais soulagée, tellement soulagée... Et je savais que de là-haut ma mère était fière de moi et de ce que j'avais accompli pour préserver notre famille. Les choses semblaient s'arranger pour mon frère et moi. Certes, vivre sans parents à nos âges ce n'était pas une chose facile, mais j'étais prête à tout pour qu'on s'en sorte. Puis j'avais Galaad, qui était très présent pour moi, pour nous. Malheureusement il parti à New York pour le travail, mais je ne lui en voulais pas, comment aurais-je pu ? Même loin de moi je savais qu'il était présent. C'était mon meilleur ami, le seul ami qui a véritablement compté dans ma vie et qui aura toujours sa place dans mon cœur. Et puis Rafael et moi on s'en sortait, même si surveiller un jeune de 20 ans était loin d'être simple, surtout que Rafael n'était pas du genre à ne jamais sortir, au contraire, mais c'était normal à son âge. Tout allait pour le mieux, jusqu'à ce terrible jour... Un appel, un accident... Mon petit frère avait eu un grave accident de scooter et avait été amené d'urgence à l'hôpital de la ville. Je fondis en larme face à cette nouvelle. Je ne pouvais pas le perdre lui aussi, je ne survivrai pas sans mon frère. Il était ma seule famille avec Galaad. Je me souviens de ce jour comme si c'était hier. J'avais couru jusqu'à l'hôpital, tout me semblait flou autour de moi, comme si plus rien ne comptait. J'avais attendu des heures et des heures avant qu'on ne me donne des nouvelles de Rafael, et cela m'avait paru durer une éternité. Quand tout ne tient qu'à ce que vous disent les médecins, le temps semble bien long. Mon cœur battait à cent à l'heure. « Mademoiselle Baker, votre frère s'en est sorti. Malheureusement l'accident a été très violent, et il est actuellement dans le coma. Nous ne pouvons pas vous en dire plus pour le moment. Nous sommes désolés... » Le.. coma ? Non... Je ne savais pas comment réagir face à cela, face à une telle nouvelle. Je me sentais coupable, j'avais été incapable de m'en occuper comme il le fallait et aujourd'hui voilà où il en était. Il fallait qu'il s'en sorte, c'était un battant, il pouvait le faire. Deux mois, deux longs mois avant que Rafael ne se réveille. Les jours ne m'avaient jamais paru si longs et si épuisants. Seulement il n'était pas sorti indemne de tout ça. Il lui fallu plusieurs semaines avant de retrouver certaines capacités et encore aujourd'hui il reste beaucoup de chemin à parcourir à ce niveau là. Il est impossible d'avoir une conversation ensemble, et je ne peux pas le laisser seul, car il est incapable de se débrouiller sans l'aide d'une autre personne. Mais il est vivant, et c'est tout ce qui compte, car je sais qu'il va se relever, et guérir. Et je serais à ses côtés pour cela. En parlant de moi, je suis désormais stripteaseuse. L'héritage de notre mère n'avait pas suffit à payer tous les soins de Rafael, que je dois encore payer aujourd'hui qui plus est. De plus, mon emploi au café ne me rapportais pas beaucoup d'argent. Alors après des jours et des jours de recherche, une offre d'emploi attira mon attention : un job de danseuse. Ce n'est que lorsque je vis le lieu que je compris de quel genre de danse il s'agissait. Je suis quand même entrée, ayant en tête de ne pas accepter cet emploi qui n'était pas fait pour moi. J'allais refuser, jusqu'à que le patron de la boite me dise le montant du salaire que je toucherai si j'acceptais le contrat. Nous avions besoin de cet argent, et je ne pouvais pas faire la fine bouche sur ce genre de chose. Mon frère comptait sur moi, il passait avant tout. Inutile de vous dire que personne n'est au courant, surtout pas Rafael. Seul Galaad le sait, j'ai été obligée de lui avouer, mais je n'en suis pas fière pour autant et si une meilleure opportunité pouvait se présenter à moi, je la saisirait sur le champs. Si je devais résumer ma vie, je dirais que c'est un enchainement de hauts et de bas, mais qu'il ne faut jamais laisser tomber. On a tous le droit à une seconde chance, le droit au bonheur. Je ne m'apitoie pas sur mon sort, bien que ma vie ne corresponde pas à celle que j'avais imaginé. Je sais que mon tour viendra. Le principal est que j'ai mon frère et mon meilleur ami, c'est tout ce qui compte. Peut-être qu'un jour le grand amour viendra frapper à ma porte, peut-être même qu'il est déjà là... Il y a un homme qui m'intrigue mais je ne vous en dirais pas plus pour le moment. Affaire à suivre...
Dernière édition par Jordan E. Baker le Dim 3 Mar - 18:59, édité 19 fois
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 11:30
Scarlett *_* Elle est tellement belle cette femme et il y a tellement de choses que tu peux faire avec elle Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que ça va donner
Gold, Silver & Bronze
Sarah H-A. Ainsworth
ﮦ ÂGE : Vingt-neuf ans ﮦ ACTIVITÉ : Gérante de la patisserie familiale ﮦ CÔTÉ COEUR : Il n'y aura toujours que lui... ﮦ MENSONGES : 3693ﮦ DISPONIBILITÉ : Je suis là assez souvent pour être dispo ﮦ A WINDFALL LANE DEPUIS LE : 30/01/2013
Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.
I won't give up on us Even if the skies get rough I'm giving you all my love I'm still looking up.
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 11:41
Scarlett :08: :09: :18: :29: Contente que tu sois parmi-nous Bonne chance pour ta fichette, si tu as la moindre question n'hésite surtout pas :09:
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 11:54
Merci vous deux J'espère que mon personnage vous plaira, parce que bon avec Scarlett je dois pas me louper :09: Je n'hésiterais pas Hestia promis
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 12:47
Une grande actrice :13: Bienvenue et bon courage pour ta fiche
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 14:52
BIENVENUEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!! :13: LA BELLLE SCARLETTTT !!! :08: & bonne chance pour ta fiche :09:
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 15:05
Colin et Astrid oh my god :08: Merci beaucoup vous deux :09:
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 15:38
Bienvenue parmi-nous ! Bon choix d'avatar, on la voit rarement sur les forums.
Bon courage pour la suite de ta fiche.
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 17:09
Que tu es belle. :29: Bienvenue officiellement sur le forum et bon courage pour la rédaction de ta fiche. J'ai hâte de la découvrir. :13: Et bon, puisque tu es toi aussi une fan des maroon five, je viens t'aceuillir tout spécialement avec mon deuxième compte. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à contacter le staff, nous sommes là pour ça.
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 18:32
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Très bon choix d'avatar !
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Mar 26 Fév - 18:45
Merci vous trois Rhys : Adam :29: c'est toi qui est beau oui :09: en tout cas c'est gentil de venir m'accueillir avec lui, je te remercie et je n'hésiterai pas promis (et j'ai hâte de voir ce qu'on va pouvoir faire :13: )
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Ven 1 Mar - 18:15
Mon dieu, Scarlett est magnifique *-* Bienvenue parmi nous
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Ven 1 Mar - 20:40
Queen ScarJo OH GOD
Welcome here my Queen
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Sam 2 Mar - 10:49
Merci vous deux (mes petits BG ) :09: Tybalt : Queen ? J'aime bien, ça me va comme surnom :sifflotte:
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Sam 2 Mar - 11:10
Tant mieux si tu aimes alors
Invité
Invité
one more night
Sujet: Re: → i'm here to wipe your eyes ∞ jordan Dim 3 Mar - 19:21
FÉLICITATION TU ES VALIDÉE J'aime beaucoup ta fiche, tu écris vraiment bien et ne t'en fais pas l'émotion est bien là Tu peux maintenant créer ta fiche de lien, demander un logement, créer tes scénario, flooder, mais surtout rp !!! En tout cas HAVE FUN !!
Accueil 
Lorsqu'on est enfant la notion de l'amitié n'est pas la même que celle que nous avons adultes, elle est plus forte et plus pure. A 7 ans tout le monde peut être notre ami, on ne regarde pas l'apparence ou toutes ces choses qui sont au final d'une futilité immense. Non, nous acceptons la personne telle qu'elle est, du moment que celle-ci se montre gentille avec nous, pourquoi la rejeter ? Avec Galaad ça c'était fait comme ça, il n'y avait pas d'explication, nous avions bien accrochés, tout simplement. Mais j'étais consciente qu'il existait peu d'amitiés comme la notre, qui perdurent dans le temps malgré les disputes et malgré les changements. Nous avions beaucoup de points en commun, je pouvais lui parler de tout et il n'a jamais jugé le fait que j'ai grandi sans père, ça l'a certes étonné au départ, mais rien de plus. Puis ma mère adorait Galaad – c'était réciproque d'ailleurs - elle s'occupait de lui parfois comme si il s'agissait de son propre enfant. Il a toujours été bien accueilli chez moi, et c'était agréable d'avoir un tel ami, moi qui étais plutôt une enfant solitaire. J'avais trouvé une personne sur qui je pouvais compter et à qui je pouvais me confier, et ça faisait du bien, malgré mon jeune âge. Nous avions tout deux une passion en commun : la danse. Combien de chances il y avait pour que je tombe sur un garçon aimant la danse ? Nous étions fait pour nous rencontrer, c'était comme ça que je le voyais en y réfléchissant. Mais Galaad ne fut pas la seule personne à entrer dans ma vie. Non, un autre événement m'attendait, et pas des moindres... L'arrivée d'un petit frère dans ma vie. Ma mère avait toujours rêvé d'une grande famille, et elle n'avait pas l'avoir. Après le départ de mon père elle ne s'est jamais remis avec un homme, du moins pas de façon sérieuse, je crois que la lâcheté de mon père l'avait vacciné de la gente masculine. Mais elle n'avait jamais abandonné son rêve d'avoir plusieurs enfants, alors elle choisit la seule possibilité qui s'offrait à elle et qui témoignait au mieux de sa grande générosité : l'adoption. Et voilà qu'arrivait dans ma vie Rafael, mon petit frère. Bien que cela me fit un peu bizarre au début car je n'avais jamais eu trop l'habitude de partager ma mère, j'étais folle de joie d'être grande sœur. Il n'était peut-être pas mon frère de sang, mais c'était tout comme pour moi, Rafael était mon frère, peu importe ses origines, peu importe ce que les autres pouvaient dire. Il ne me fallu pas longtemps pour tomber 'amoureuse' de ce bout de chou. Nous étions une vraie famille, soudée et heureuse. Seulement la vie parfaite et le bonheur ne durent qu'un temps, malheureusement pour moi... J'étais à peine âgée de 23 ans quand ma mère apprit qu'elle avait un cancer du poumon. Cette nouvelle tomba comme un coup de massue sur moi. Je ne pouvais accepter le fait qu'elle soit malade, l'idée de la perdre me rendait folle. Ce n'était pas possible... Pas elle. Ce n'était pas juste, nous n'avions rien fait. Je ne comprenais pas pourquoi cela tombait sur ma mère, elle qui avait toujours été si généreuse et si aimante. Je me devais d'être forte, pour elle et pour Rafael. Je laissa tomber mes études de droit – j'avais toujours rêvé d'être avocate ou de faire une carrière dans tout ce qui touchait l'artistique – pour m'occuper de ma mère qui était épuisée à cause des traitements qu'elle prenait. Je pris un petit job de serveuse dans un café pour ramener un peu d'argent et aider ma mère, qui prenait sur les économies qu'elle avait fait tout au long de sa vie. Nous n'étions pas riches, et les soins étaient très chers, un peu trop même. Puis un an est passé... Et elle s'en est allée. Je n'avais que 24 ans, et je devais déjà affronter la perte de ma mère.
Comment étais-je censée continuer à vivre après cela ? J'avais perdu mon repère, mon bonheur, mon tout... Si il n'y avait pas eu Rafael, je ne m'en serais pas relevée. Il était mon moteur. Mais encore aujourd'hui je ne m'étais pas totalement remise de la mort de ma mère. Elle me manquait terriblement... Il y avait un vide en moi que personne ne comblait. J'avais besoin d'elle, on avait besoin d'elle... Quelques temps avant qu'elle ne nous quitte, elle me fit promettre d'être heureuse malgré tout, de me battre pour mes rêves et de prendre soin de mon petit frère. Il n'était pas question pour moi de le laisser tomber, d'autant plus qu'il n'avait que 16 ans. Je n'imaginais pas à quel point ce devait être dur pour lui... Nous devions nous soutenir, nous épauler. Il ne me restait plus que lui, et je comptais tout faire pour qu'il puisse s'épanouir, et réaliser ses rêves. Son bonheur passait avant le mien. Seulement voilà, nous n'avions que ma mère comme parent, puisque Rafael était adopté et que mon père était parti et n'était jamais revenu. Étant majeure cela ne posait pas de problèmes, en revanche c'était différent pour mon petit frère. Il allait sûrement être placé en foyer ce qui était pour moi inconcevable. Je devais me battre pour récupérer sa garde. Personne n'allait nous séparer, personne. Je ne les laisserai pas faire ça, hors de question. Pour que Rafael soit sous ma garde, j'avais de nombreux dossiers à remplir, et les services sociaux devaient ensuite passer pour vérifier si mon frère allait vivre dans de bonnes conditions, si j'étais en capacité de m'occuper de lui mais aussi si voulait rester avec moi. Je savais que j'étais totalement capable de le prendre en charge, et je savais aussi que c'était le mieux pour lui. Grâce à mes quelques années d'étude en droit, j'avais sympathisé avec une brillante avocate qui passait souvent au café où je travaillais. Nous discutions beaucoup elle et moi, je lui disais à quel point le droit me manquait, et elle m'avait promis que si je comptais reprendre un jour mes études dans ce domaine là elle serait là pour m'aider. Elle connaissait ma situation, et elle n'avait pas hésité à me proposer son aide. Si j'avais besoin de quoi que ce soit, il me suffisait de l'appeler, m'avait-elle dit. Avec cette histoire de garde etc, il me fallait un coup de main, et elle était la mieux placée pour me dire quoi faire et comment remplir tout les dossiers que l'on m'avait remis. Elle n'hésita pas une seule seconde à m'apporter son aide, et après quelques mois le verdict tomba : j'avais réussi, j'avais la garde de mon frère. J'étais soulagée, tellement soulagée... Et je savais que de là-haut ma mère était fière de moi et de ce que j'avais accompli pour préserver notre famille. Les choses semblaient s'arranger pour mon frère et moi. Certes, vivre sans parents à nos âges ce n'était pas une chose facile, mais j'étais prête à tout pour qu'on s'en sorte. Puis j'avais Galaad, qui était très présent pour moi, pour nous. Malheureusement il parti à New York pour le travail, mais je ne lui en voulais pas, comment aurais-je pu ? Même loin de moi je savais qu'il était présent. C'était mon meilleur ami, le seul ami qui a véritablement compté dans ma vie et qui aura toujours sa place dans mon cœur. Et puis Rafael et moi on s'en sortait, même si surveiller un jeune de 20 ans était loin d'être simple, surtout que Rafael n'était pas du genre à ne jamais sortir, au contraire, mais c'était normal à son âge. Tout allait pour le mieux, jusqu'à ce terrible jour... Un appel, un accident... Mon petit frère avait eu un grave accident de scooter et avait été amené d'urgence à l'hôpital de la ville. 
Je fondis en larme face à cette nouvelle. Je ne pouvais pas le perdre lui aussi, je ne survivrai pas sans mon frère. Il était ma seule famille avec Galaad. Je me souviens de ce jour comme si c'était hier. J'avais couru jusqu'à l'hôpital, tout me semblait flou autour de moi, comme si plus rien ne comptait. J'avais attendu des heures et des heures avant qu'on ne me donne des nouvelles de Rafael, et cela m'avait paru durer une éternité. Quand tout ne tient qu'à ce que vous disent les médecins, le temps semble bien long. Mon cœur battait à cent à l'heure. « Mademoiselle Baker, votre frère s'en est sorti. Malheureusement l'accident a été très violent, et il est actuellement dans le coma. Nous ne pouvons pas vous en dire plus pour le moment. Nous sommes désolés... » Le.. coma ? Non... Je ne savais pas comment réagir face à cela, face à une telle nouvelle. Je me sentais coupable, j'avais été incapable de m'en occuper comme il le fallait et aujourd'hui voilà où il en était. Il fallait qu'il s'en sorte, c'était un battant, il pouvait le faire. Deux mois, deux longs mois avant que Rafael ne se réveille. Les jours ne m'avaient jamais paru si longs et si épuisants. Seulement il n'était pas sorti indemne de tout ça. Il lui fallu plusieurs semaines avant de retrouver certaines capacités et encore aujourd'hui il reste beaucoup de chemin à parcourir à ce niveau là. Il est impossible d'avoir une conversation ensemble, et je ne peux pas le laisser seul, car il est incapable de se débrouiller sans l'aide d'une autre personne. Mais il est vivant, et c'est tout ce qui compte, car je sais qu'il va se relever, et guérir. Et je serais à ses côtés pour cela. En parlant de moi, je suis désormais stripteaseuse. L'héritage de notre mère n'avait pas suffit à payer tous les soins de Rafael, que je dois encore payer aujourd'hui qui plus est. De plus, mon emploi au café ne me rapportais pas beaucoup d'argent. Alors après des jours et des jours de recherche, une offre d'emploi attira mon attention : un job de danseuse. Ce n'est que lorsque je vis le lieu que je compris de quel genre de danse il s'agissait. Je suis quand même entrée, ayant en tête de ne pas accepter cet emploi qui n'était pas fait pour moi. J'allais refuser, jusqu'à que le patron de la boite me dise le montant du salaire que je toucherai si j'acceptais le contrat. Nous avions besoin de cet argent, et je ne pouvais pas faire la fine bouche sur ce genre de chose. Mon frère comptait sur moi, il passait avant tout. Inutile de vous dire que personne n'est au courant, surtout pas Rafael. Seul Galaad le sait, j'ai été obligée de lui avouer, mais je n'en suis pas fière pour autant et si une meilleure opportunité pouvait se présenter à moi, je la saisirait sur le champs. Si je devais résumer ma vie, je dirais que c'est un enchainement de hauts et de bas, mais qu'il ne faut jamais laisser tomber. On a tous le droit à une seconde chance, le droit au bonheur. Je ne m'apitoie pas sur mon sort, bien que ma vie ne corresponde pas à celle que j'avais imaginé. Je sais que mon tour viendra. Le principal est que j'ai mon frère et mon meilleur ami, c'est tout ce qui compte. Peut-être qu'un jour le grand amour viendra frapper à ma porte, peut-être même qu'il est déjà là... Il y a un homme qui m'intrigue mais je ne vous en dirais pas plus pour le moment. Affaire à suivre...
et je n'hésiterai pas promis