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You can count on me like one, two, three :: Emil

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MessageSujet: You can count on me like one, two, three :: Emil You can count on me like one, two, three :: Emil EmptyVen 17 Mai - 11:38



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Emil & Eledwen

Eledwen se regardait dans le miroir avec hésitation, les larmes coulaient encore sur ses joues et elle se sentait tellement mal que son cœur allait exploser. La jeune fille se mit assise sur le tapis de sa salle de bain, entourant ses jambes de ses bras, la mine déconfite. Plus personne, elle n’avait plus personne. Elle avait perdu Andrea quand elle avait retrouvé Thomas, et avait perdue Thomas quand elle avait voulut arranger les choses avec Andy. Elle ne pouvait rien dire à sa famille, à personne, elle avait encore quelques semaines avant de se décider définitivement. Eledwen commençait à se dire qu’il allait falloir qu’elle se fasse avorter. C’était triste à dire, mais en même temps, qu’en était il de son rêve ? Allait-elle tout abandonner comme cela pour une erreur de jeunesse. Tout était de sa faute, c’était de sa faute. Elle avait mit le grappin sur son professeur de danse, et puis elle savait ce que les autres disaient de lui avant, Galaad en avait déjà parlé. On disait de Thomas qu’il collectionnait les filles, qu’il avait une nouvelle conquête toute les semaines, les subtilisant la plupart du temps à Galaad. Mais elle avait voulut rester aveugle à tout ça, elle n’avait pas voulut Thomas pour ce qu’il était, elle l’avait voulut pour ce qu’il était devenu quand elle l’avait connue. Et puis, après tout, son propre frère n’était pas un saint, elle savait très bien qu’ils se détestaient depuis un bon bout de temps et qu’il avait pu bien sur, exagérer les choses. Tout cela n’importait plus à présent, elle n’avait pas besoin de se faire une vie à cause de cela. Cependant, elle vomissait de plus en plus, et avait des nausées affreuses depuis qu’elle était vraiment seule. Elle était un oiseau fragile et ses ailes étaient blessées, alors elle se confortait comme elle le pouvait se roulant en boule comme si rien ne pouvait l’atteindre.

Ted Rall avait dit, « Les vrais amis t’aiment pour ce que tu es et non pour ce qu’ils veulent que tu sois. », justement, elle avait besoin de voir quelqu’un. Eledwen releva la tête, et saisit son portable pour envoyer un message à son meilleur ami, Emil. Elle avait besoin de lui cela faisait tellement longtemps qu’ils ne s’étaient pas vu, et elle se demandait comme cela était possible, il était sa meilleure moitié. « J’arrive chez toi dans une dizaine de minutes, si cela te va. », envoya-t-elle après s’être relevée avec lassitude. Posant son portable sur le buffet de la salle de bain, elle examina sa silhouette, heureusement qu’elle dansait encore, elle n’avait prit que trois kilos, mais elle se sentait encore moins d’attaque à continuer. Dieu savait à quel point l’univers de la danse classique était strict, il fallait faire attention à son apparence, à ses faits et gestes, constamment. Toujours était-il qu’elle se changea, enfilant un pull beige assez large, camouflant ses légères rondeurs, et qu’elle s’apprêta pour effacer les traces de ses larmes. Eledwen commença à tourner en rond, cherchant une veste pour sortir, elle avait réellement besoin de prendre l’air, de se ressourcer, et puis il faisait plutôt beau. Justement, elle retrouva sa veste en cuire, son écharpe, et l’essaya tout en n’oubliant pas de mettre son portable et ses clés dans sa poche, c’était parfait. Le grand air lui fit l’effet d’une brise agréable, et elle commença à marcher simplement en ville jusqu’à l’appartement d’Emil. Après quelques minutes de marche, Eledwen arriva en bas de l’immeuble de son meilleur ami et monta les quelques escaliers qui la séparait de l’appartement. La petite brune frappa à la porte, attendant qu’on lui ouvre. C’est le visage tant connu d’Emil qu’elle vit, et sa bonne humeur se fit sentir tandis qu’elle se jetta dans ses bras, « Emil ! Tu m’as manqué c’est fou ! », dit-elle avant qu’il ne puisse dire quoique ce soit. Emil était une bouffée d’air frais dans le champ de mine qu’était devenue sa vie, il y avait quelques mois de cela. Au moins, lui il était là depuis toujours, il la comprendrait c’était sur. La brune se recula et regarda son ami en souriant, « On a un tas de choses à se raconter toi et moi ! » La jeune fille entra dans l’appartement d’Emil, remarquant que cela n’avait rien à voir avec la grande maison dans laquelle elle avait l’habitude d’aller autrefois. Mais elle s’en fichait, elle savait très bien ce qui avait toujours motivé Emil, et c’était tout à son honneur.

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MessageSujet: Re: You can count on me like one, two, three :: Emil You can count on me like one, two, three :: Emil EmptyMar 21 Mai - 14:06

Une routine, des jours qui se ressemblaient affreusement, un cycle perpétuel qui se répétait inlassablement semaine après semaine - lorsqu'il pensait à ce qu'était sa vie, lorsqu'il vivait encore chez son père, voilà comment son quotidien lui apparaissait. Fade, sans couleur, sans odeur, sans saveur. Une succession informe de journées sans fondement, sans intérêt grandissant, et au manque cruel de chaleur et de valeur, qu'il se contentait de regarder passer, tant il n'était que le pantin de chair d'un paternel à la vision étriquée et aux intérêts égoïstes. Faire de son garçon un digne chef d'entreprise, dans l'espoir de le voir un jour reprendre la tête de l'empire Crane, sans même se soucier des envies ou des besoins du-dit fils en question - voilà comment il avait toujours élevé Emil. Il ne voyait en son gamin que celui qu'il était à son âge, et aspirait à ce qu'il devienne comme lui, suivant la tradition familiale, comme lui-même l'avait fait. Lorsque l'on prenait la peine d'y réfléchir, l'idée n'était pas si saugrenue que ça. Après tout, Mr Crane avait constitué un empire financier plutôt important, assurant à ses envies une vie faste et luxueuse, comme n'importe quelle personne le souhaiterait. Depuis sa plus tendre enfance, Emil, tout comme sa soeur, n'avait au final manqué de rien - ils avaient tous deux eu droit aux meilleures écoles, aux meilleurs soins, sans compter sur les cadeaux et autres bien personnels. Une grande maison, un grand jardin, de grands repas, toujours cette manie de voir les choses en grand, malgré la simplicité étonnante d'une mère qui avait quitté ce monde bien trop tôt. Oui, Emil n'avait manqué de presque rien, si ce n'est l'amour d'un père envers son fils. Peut-être était-ce pour ça qu'il avait été obligé de partir. Peut-être que sa fuite n'était que le moyen, détourné et indélicat, certes, de montrer qu'il existait, en temps qu'être humain, et pas seulement en tant qu'objet dont lequel son père pouvait disposer. Tant d'explications possibles pour un geste qu'il aurait du faire bien plus tôt. Sa fugue n'avait pas seulement été un pied de nez envers son paternel et le quotidien étouffant qui l'oppressait, mais était presque devenue une renaissance, le signe d'un nouveau départ qui, après quelques débuts difficiles, s'annonçait bien meilleur à présent. Après quelques brèves semaines d'errance, il s'était trouvé une petite colocation sans réel apparat qui lui avait plue justement pour ce qu'elle était - une appartement perdu au milieu de nulle part, dans lequel vivait déjà un étudiant tout droit sorti d'une série Z. Alors oui, il n'avait plus accès à l'immense maison dans laquelle il vivait jusque là, ni aux repas gargantuesques et aux charmantes domestiques, mais il s'en fichait éperdument. Dans cet appartement miteux, il pouvait être qui il voulait, il pouvait devenir celui qu'il était vraiment, caché depuis des années sous le pouvoir grandissant d'un paternel envahissant - et cet Emil là lui plaisait bien plus.

Vieux polo sur les épaules et demi-tablier enroulé autour des hanches, il laissait son pinceau glisser sur la surface épaisse de la toile, la recouvrant de multiples couleurs, tantôt froides, tantôt plus chaudes, composant lentement l'une des images qui peuplaient son esprit. Le temps avait beau être plutôt agréable aujourd'hui, de ce qu'il pouvait apercevoir par la fenêtre, il n'était pourtant pas sorti chasser de nouvelles silhouettes dans les rues, préférant se concentrer sur cette peinture dont il ne voyait pas la fin, et qu'il se devait de terminer pour la semaine à venir. Le sujet en lui-même avait beau être passionnant, il s'y perdait cruellement, se laissant subjuguer par tellement de détails qu'il ne parvenait à avoir une vue d'ensemble sur son travail. Démons intérieurs, presque une ironie quand on songeait à sa vie, et au mensonge perpétuel qu'il se constituait jour après jours. Apposant quelques touches d'un bleu outremer sur sa toile, il fut néanmoins distrait par la sonnerie stridente de son téléphone, qu'il avait oublié de mettre sur vibreur - une chance qu'il fut seul dans l'appartement, pour une fois. Tapotant à l'aveugle sur son lit sans quitter sa place, il finit par attraper son portable, tentant d'éviter de faire tomber la peinture de ses pinceaux qu'il tenait dans l'autre main. « J’arrive chez toi dans une dizaine de minutes, si cela te va. » Le message était court et, s'il aurait pu décliner l'invitation en prétextant l'immense boulot qui l'attendait encore, le nom de l'expéditeur lui ôta aussi vite cette pensée. Eledwen. Depuis combien de temps ne s'étaient-ils pas parlé de vive voix ? Une éternité sûrement, à quelques jours près. Tapant rapidement sur son clavier, il lui répondit dans la minute, envoyant un simple « Je t'attends, tu connais l'adresse (: » avant de finir ce qu'il avait commencé. Au mieux, il avait une dizaine de minutes pour avancer sa peinture et, de toute façon, sa chambre était tellement en désordre qu'il lui faudrait bien plus que ce maigre temps pour réussir à la vaincre, pièce digne des plus grands artistes à l'esprit débordé. Trop concentré sur sa toile, le temps lui parut être passé à vitesse grand v lorsqu'il entendit quelques coups tapés contre la porte d'entrée, et il laissa tremper ses pinceaux dans l'eau avant de se relever, pour aller ouvrir à la petite brune, oubliant au passage d'enlever son tablier. La tornade brune lui sauta au cou à peine la porte ouverte, ce qui ne manqua pas de faire rire l'étudiant, alors qu'il la réceptionnait contre lui. « Emil ! Tu m’as manqué c’est fou ! » Souriant doucement, il passa un bras autour de ses épaules fines, caressant lentement le haut de son dos. « Toi aussi, Dwen... » Ses lèvres toujours légèrement étirées, il ferma les yeux quelques instants, appréciant ce contact simple entre leur deux personnes, une étreinte amicale à laquelle ils n'avaient plus eu droit depuis des mois. Une seconde, ou deux, et la jeune femme se recula, apparaissant en entier dans son champ de vision, lui offrant cette silhouette qui lui semblait tout droit sortie de son passé. Malgré ses efforts et ses résolutions, il n'avait pu se défaire de la présence d'Eledwen dans sa vie, trop habitué à la voir enchanter son quotidien depuis des années maintenant. Elle était la seule à savoir où il vivait, à savoir ce à quoi il avait tourné le dos - à savoir presque tout de lui. « On a un tas de choses à se raconter toi et moi ! » Ne pouvant qu'acquiescer à ses paroles, il fit un pas en arrière, laissant la demoiselle entrer chez lui, et referma la porte du bout du bras. Ce devait être la première fois qu'elle mettait les pieds dans son nouveau chez lui mais, contrairement à d'autres personnes, Dwen ne faisaient pas parti de ce cercle d'idiots qui jugeaient les gens d'après l'endroit où ils vivaient - une bêtise que l'étudiant n'avait jamais pu supporter, d'ailleurs. « C'est un peu petit mais... fais comme chez toi. Tu peux poser tes affaires dans le salon si tu veux, il y a de la place pour. » S'éloignant de la porte, il retira enfin son tablier, et l'accrocha à la poignée de porte de sa chambre, lorsqu'il passa à côté. Faisant brièvement rouler les muscles de son dos, il revint auprès d'Eledwen, l'observant quelques instants avant de jeter un coup d'oeil vers la petite cuisine, s'excusant tout en se frottant rapidement les yeux. « Désolé, ça fait un moment que je n'ai pas reçu du monde ici, je perds mes habitudes. Tu veux boire un thé, ou autre chose peut-être ? » Attendant la réponse de son amie, il remarqua les quelques taches de peinture qui parsemaient la peau de ses mains et se demanda distraitement quelle tête il pouvait bien avoir, après avoir passé autant d'heure de suite devant cette toile. Pour autant, ce n'était pas la question la plus importante qu'il se posait, et son propre état lui important bien peu comparé à celui que celle qui lui faisait face. Il avait bien vite remarqué son teint un peu pâle, et les traits fatigués qui tiraient sa peau, malgré la bonne humeur qu'elle tentait d'afficher. Cela faisait des mois qu'il ne l'avait pas vue, et pourtant il était sûr d'une chose : elle avait changé. Lui aussi avait changé, comme tout le monde, c'était inévitable - mais il ne parvenait à mettre le doigt sur le point d'interrogation qui entourait le visage de la brune. Alors, plutôt que de se perdre dans des questionnements interminables, il ouvrit de nouveau la bouche, débarrassant rapidement la petite table du salon des quelques magazines qui la jonchaient. « J'ai l'impression que ça fait une éternité qu'on ne s'est pas vus... Comment vas-tu ? Tu as l'air... un peu fatiguée. Ce sont tes cours de danse qui t'épuisent autant ? » Relevant les yeux vers elle, il déposa le tas de feuillets sur une commode, laissant moue embêté se fondre sur son visage. De l'inquiétude, pour elle bien plus que pour lui, parsemée d'une légère once de culpabilité, quelque part. Il n'avait pas été très présent pour elle, ces derniers mois, faisant face à ses propres problèmes et à ses propres démons, tentant d'arranger une vie qui lui avait échappée des mains comme il le pouvait. Alors aujourd'hui, il serait cette épaule sur laquelle se reposer, cette oreille à laquelle se confier - cet ami retrouvé à qui elle pouvait tout dire.
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MessageSujet: Re: You can count on me like one, two, three :: Emil You can count on me like one, two, three :: Emil EmptyVen 31 Mai - 17:13



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Emil & Eledwen

Rendre visite à son meilleur ami ? Rien de tel pour chasser ses idées noires. Elle lâcha son étreinte et le gratifia d’un baiser sonore sur la joue. Qui douterais de leur amitié ? La chambre de la jeune fille était quasiment tapissée de photo de son cher ami et d’elle, c’était comme une frise chronologique, on remontait les années en regardant ces photos. Allant de leurs bouilles barbouillés de chocolats, en passant par l’époque ingrate avec les appareils dentaires et les boutons, pour finir vers l’époque où enfin ils avaient l’air de vrais adultes. Et cela depuis un bon bout de temps, c’était avec lui qu’elle avait toujours fait les quatres cents coups, depuis qu’elle était haute comme trois pommes. Elle se souvenait de cette fois, où leurs parents leurs avaient présenté leur idée de mariage, bien qu’ils avaient voulut être discret en lançant cela comme s’il s’agissait d’une simple plaisanterie. Pour les parents de Balzac, Emil était le gendre idéal fortuné, gentil, bien élevé, et pour les parents Crane, elle était son alter-ego féminin. Ils n’étaient pas dupent, leurs parents respectifs n’avaient jamais été les rois en matière de discrétion et ils avaient bien rit ce soir là, les repas et galas entre famille fortunée étaient toujours tellement drôle. Elle entra alors dans l’appartement, regardant un peu autour d’elle, c’était la première fois qu’elle venait ici, et s’était tout à fait comme cela qu’elle s’était imaginée l’endroit. « C'est un peu petit mais... fais comme chez toi. Tu peux poser tes affaires dans le salon si tu veux, il y a de la place pour. » La jeune fille lui adressa un clin d’œil et enleva sa veste pour la poser sur l’accoudoir de l’un des fauteuils qui se trouvait là, et s’y asseoir, « T’inquiètes pas, je vais éviter de prendre toute la place. », elle se mit à rire légèrement, avant de reprendre l’air songeur, « Mais je dois avouer que tout cela change radicalement de la grande maison des Crane ! Même pas de siège capitonné, ni un seul napperon brodé à la main, allons, allons. », dit-elle en prenant un faux air cérémonieux.

« Désolé, ça fait un moment que je n'ai pas reçu du monde ici, je perds mes habitudes. Tu veux boire un thé, ou autre chose peut-être ? » Elle le regarda, le regard toujours rieur. Emil était sa seule fréquentation agréable depuis un petit moment. Bien qu’elle ne trouvait pas Thomas ou ses frères désagréables, mais au moins avec lui, elle n’avait pas besoin de mentir, ni de s’expliquer, ni de se sentir mal à l’aise, et elle le remerciait intérieurement pour cela, du fond de son petit cœur meurtrit. « Un thé si tu en as, et si tu n’en as pas donne moi un verre d’eau, je ne suis pas si difficile va. », lui dit-elle avant de remarqué les quelques traces de peintures sur ses mains. Elle se leva et lui enleva avec le pouce un léger résidu de peinture séchée qui avait posé bagages sur sa joue droite, avant de lui lancer, « Alors, tu t’es de nouveau battu avec tes pinceaux ? Ca fait longtemps que je n’ai pas vu tes dessins. Je te préviens si j’apprends que tu as trouvé meilleure modèle que moi ca va barder mon cher Emil. » L’air faussement contrarié, elle croisa les bras et fit quelques pas tout en regardant toujours autour d’elle. Elle se sentait réellement en paix, c’était assez étrange, comme si aucun de ses problèmes n’étaient grave, comme si tout allait se régler comme cela en un claquement de doigt et que tout finirait par aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. « J'ai l'impression que ça fait une éternité qu'on ne s'est pas vus... Comment vas-tu ? Tu as l'air... un peu fatiguée. Ce sont tes cours de danse qui t'épuisent autant ? » Arrachée de ses pensées par les questions de son ami, elle ne put réprimé une légère moue triste, qu’elle camoufla assez rapidement avant de concentrer à nouveau son attention sur le jeune brun, « Ce n’est pas qu’une impression, je te ferais dire qu’a cause de toi j’ai subit un interrogatoire pas possible ! Tu aurais vu leurs têtes. Je dois t’avouer que ta sœur me fait un peu peur, j’ai vu qu’elle savait que je mentais ca m’a fait froid dans le dos, je te raconte pas ! » Elle se remit assise sur le fauteuil, reprenant un air sérieux, « Ca va… eh bien en fait ca va mal. La danse entre autres… c’est vraiment épuisant, j’ai décroché un rôle pour la fée dragée pour une représentation d’il y a deux semaines, c’est mon seul rôle important que j’ai réussit a avoir, alors ca me pèse un peu. Je pourrais en avoir d’avantage en me servant de Galaad mais j’aime pas marcher au piston. mais toi alors ? Je veux tout savoir, comme ca se passe l’école ? Tu as rencontré quelqu’un ? Je veux un rapport complet ! » Elle allait tout lui dire, enfin avouer a quelqu’un ce lourd ce secret, cependant, elle ne voulait pas précipiter les choses, elle allait y aller en douceur, histoire d’amortir quelques peu le choc. « Il faut que je te parle de quelque chose, c’est assez compliqué… tu te souviens je t’avais parlé du prof avec lequel je sortais, Thomas ? », demanda-t-elle d’un aire grave. Elle se demandait comme Emil allait le prendre, tout restait à voir.


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