Mon histoire a débuté le 19 Novembre, dans une lointaine contrée prénommée Londres, me dessinant comme un(e) Anglais. Également d'origine Galloise, 32 printemps se sont écoulés depuis, le temps coulant et défilant à une vitesse défiant toute imagination. Je me suis façonné, et je suis désormais apte à assumer une personnalité qui m'est unique, mêlée de qualités qui me subliment, à savoir que je suis curieux, posé, passionné., à des défauts qui m'assombrissent, à savoir que je suis opportuniste, manipulateur, rusé, séducteur, libertin, flemmard.. Vous endormir, ou vous faire fantasmer sur un physique que des mots ne pourront véritablement esquisser dans votre esprit, serait vous faire du tort, ainsi je me contenterais de dire que je ressemble  étrangement à Tom Hiddleston. Je suis donc bien un(e) homme. Vous ne l'aviez deviné ? Ma vie amoureuse est chaotique, mais je sais aujourd'hui m'intéresser aux femmes/hommes  et je suis épanoui. D'ailleurs, je suis en célibataire, depuis quelques temps à savoir x jours/mois/ans, ce qui interfère/bien que ça n'interfère pas dans ma vie professionnelle. Je suis en effet Animateur radio et informaticien. En conclusion, et après ce petit retour sur moi-même, je pense être groupe.

Il a fait des études de journalisme ✎ est très doué avec la paroles ✎ se trouve parfois un peu trop hypocrite ✎ ne sait pas garder des secrets ✎ adore tout savoir ✎ déteste le café sans sucre ✎ est allergique à la lactose ✎ possède un chat ✎ a toujours vécu au dessus de ses moyens ✎ adore être bien habillé ✎ déteste les voyages ✎ est un grand lecteur ✎ a une excellente mémoire ✎ est fils unique ✎ a faillit rentrer dans l'armée étant plus jeune ✎ déteste sa famille ✎ sourit tout le temps ✎ adore séduire à n'importe qu'elle heure de la journée ou de la nuit ✎ est un fan de séries télévisées ✎ on peut le considérer comme un geek ✎ son salon est une salle de jeux ✎ il n'est jamais sérieux dans ses relations ✎ croit qu'il n'est jamais tombé amoureux ✎ aime autant les hommes que les femmes, incapable de faire son choix ✎ est très sociable ✎ capable d'être ami avec n'importe qui ✎ n'a pas d'histoire particulière ✎
Je pense qu'avec tout ce qu'il y a au dessus, on a déjà une bien belle image du personnage. C'est un manipulateur qui fait ça pour le plaisir, il aime avoir une belle vie et montrer aux autres que c'est le cas. Il n'est ni malheureux, ni réellement heureux, c'est normal pour lui. Jusqu'à présent, il n'a jamais reçu de claque venant de celle-ci ou bien de quelqu'un. Il vit un peu au jour le jour, refusant de se poser avec quelqu'un considérant qu'il y a encore énormément de choses à voir, bien qu'il refuse de voyager. Il a coupé les ponts avec ses parents qui sont encore en vie, il n'en a rien à faire de la famille, il n'en veut pas. En gros, c'est un adolescent de seize ans coincé dans le corps d'un homme qui en a plus de trente. Est-ce qu'un jour il va faire le point ? Se remettre en question et essayer d'avoir une vie saine ? C'est discutable. Faut déjà savoir s'il va chercher des solutions.

« Papa ? Qu'est-ce qu'ils sont en train de faire au voisin ? » Même dès son plus jeune âge, le premier trait de caractère que l'on tire, c'est celui d'être curieux. Quincy, accroché à la jambe de son père qui observe les policiers menotter le père de Skylar et Edlys, il a du sang sur sa chemise. Evrar, le père de Quincy passe sa main gauche sur ses yeux, soupirant, il cache aussi les quelques larmes qui menacent de couler. « Papa ! » Ajoute le petit garçon qui commence à bouger la jambe de son père. Il ne voit rien, de l'endroit ou Quincy se trouve, il ne peut rien voir d'autre que la voiture de police, heureusement. Son père ne l'aurait jamais laissé regardé ça. Jamais. « Retourne dans ta chambre Quincy. » pas la peine de refuser, pas la peine de d'énerver inutilement le paternel, Quincy grimpe dans sa chambre, saisissant l’opportunité d'observer la scène de sa fenêtre. Il n'aurait certainement pas dû. Les images l'ont choqué, le sang, les gestes désespérées de la femme et le petit garçon, les bras tendus le long de son corps, qui avançant tel un zombie dans l'ambulance, alors que des infirmiers devant bâillonner sa mère. Quelques jours plus tard, la famille Robbins quittait ce quartier, pourtant si paisible de la ville de Bristol.
« Et quel est votre nom ? » Quincy regarde par dessus l'épaule du client devant lui, afin de voir les boissons affichées sur le mur, non, pas pour le code de sa carte bancaire, cependant, il va voir quelque chose de bien plus intéressant. Le nom de la personne devant lui sur sa carte d'identité. « Edlys. E D L Y S. » marmonne le brun devant Quincy qui les mains tremblantes range ses affaires dans la poche de son jean, celle-ci doit être un vrai foutoir. Il doit tout fourrer ici. L'animateur de radio hausse les épaules avant d'essayer de savoir ou est-ce qu'il a bien pu entendre le nom d'Edlys Nordtveit. Sa mémoire lui fait faux bond, il arrive tout de même à passer sa commande, pour son café. La main gauche en dessous du menton, il sort du café pour retrouver ce fameux Edlys, cigarette en bouche, à la recherche d'un briquet. Quincy lui allume sa cigarette par surprise ce qui fait sursauter le jeune homme, oui, jeune, même s'il semble plus vieux, notamment à cause de ses cernes et de son air fatigué, pâle. « Gardez-le. Je vous l'offre. » lance Quincy avec un grand sourire, essayant de le mettre à l'aise. Il lui tend aussi son café avec un clin d’œil. « Tchin. » le brun semble prit au dépourvu mais répond tout de même, pas habitué à se faire accoster par des inconnus, certainement.
L'animateur radio, une main sur son ventre, passe lascivement ses doigts sur celui-ci, observant d'un œil endormit son partenaire d'une nuit se rhabiller, la chemise en premier, c’est à dire qu'il se dandine devant lui, lui offrant un spectacle tout aussi intéressant que celui de la nuit. « Edlys Nordtveit. Je ne comprends pas pourquoi tu ne veux pas rester ici cette nuit, il est deux heures du matin, on a fait l'amour, deux fois et tu persistes à me dire que tu dois être chez toi. J'ai l'impression que j'ai été un piètre amant. » Grogne-t-il en se redressant, lui aussi est nu. L'intéressé se retourne, il rougit, ça se voit grâce à la lumière lunaire. « Ce n'est pas toi, c'est moi. » Persiste-t-il à dire, s'enfonçant encore, depuis le début, quoi qu'il se passe, c'est de sa faute, il endosse tout sur ses épaules, comme s'il devait porter la terre sur celles-ci. Il doit être un cas intéressant pour les psychologues. « On ne se reverra sans doute plus et je n'ai même pas le plaisir de dormir à tes côtés, j'aurais certainement pu te réveiller de la meilleure des manières tu sais... » Edlys pince ses lèvres et met son caleçon correctement avant de prendre son pantalon et de fermer les boutons de celui-ci. « Je vais te payer un café, prochainement, tu as mon numéro, appelle-moi et tu auras ton café. » Quincy roule des yeux, sérieusement, il s'en branle de ce café. Cependant, il le prendra, s'il ne peut qu'avoir ça. Il pousse les draps du lit et vient aider son amant à mettre correctement les boutons de sa chemise. Le contraste est amusant, l'un nu, l'autre habillé. Quincy ne se gêne pas une seconde pour se frotter contre lui, ni lui offrir un baiser très langoureux en guise d'au revoir, faisant bégayer Edlys.

To be continued.