Roxanne De Balzac w/  rivale, ancienne amante, astre de ses nuits.

Comment oublier la douceur d'une peau tellement fragile qu'elle se briserait au moindre mouvement brusque tandis que les phalanges entamaient déjà une lente excursion sauvage ? Peut-on laisser périr le souvenir du goût sucré de l'épiderme féminin, presque aussi délicat que du miel, alors que l'on pressait nos lèvres contre l'une de ses paumes offertes ? L'odeur de blé séché au soleil une chaude journée d'été, les enivrantes fragrances floral, qui se dégageait de sa cascade d'orge, est-il possible d'effacer de tel moment ? Ou au contraire ces indicibles délicatesses ne rendent-elles pas la mémoire plus tenace, la commémoration plus vivace. Roxanne et Leos s'étaient haïs autant qu'il était humainement possible de le faire. Deux pôles à l'opposer l'un de l'autre. Des farouches opposants qui menaient une même guerre. Ils avaient étudié l'art de la danse ensemble et où certains auraient vu une manière idéalement choisi pour se battre côté à côté et ainsi atteindre les sommets ils avaient décidé que c'est ce qui les mèneraient à leurs perte. Trop orgueilleux, une ambition démesurée nourrissant leurs rêves, l'un devait réussir et faire couler l'autre par la même occasion. L'attraction est pourtant parfois trop forte et le talent dont ils étaient dotés leurs permirent d'atteindre les sommets. Leurs haines se teinta d'indifférence. Indifférence qu'ils se plaisaient à cultiver. Jusqu'à ce qu'un soir, après une représentation particulièrement éprouvante, le bon sens laissa place à la passion. Et l'aversion se teinta de passion qui devint désir. Une nuit, voilà tout ce qu'ils avaient eu pour oublier le monde qui les entouraient. C'était il y a trois ans. Depuis ils ne s'étaient plus revus et n'avait donc jamais plus fait référence à ce moment d'égarement. Néanmoins, le souvenir de l'autre vibre encore dans leurs chairs battant de désir. Ils se consument. L’orgueil emporte malheureusement souvent les batailles.

Eledwen L. De Balzac w/  étudiante, ancienne amante, mère de son futur enfant, séparé.

Leos et Eledwen se sont connus il y a 2 ans, alors que la jeune fille passait une audition pour entrer dans l’école de danse prestigieuse de Chicago où Leos enseigne. Il a déjà été très troublé par la première prestation de Dwen la première fois qu’il l’a vue, mais il a évité de le dire pendant un certain temps. Il a immédiatement fait le rapprochement entre elle et sa grande sœur Roxanne. Lorsqu’elle a été choisie pour la représentation de fin d’année, il s’est proposé pour les cours en plus qu’elle devait suivre trois soirs par semaine. De fil en aiguille, il n’a pas pu s ‘empêcher de s’intéresser à elle d'une manière un peu malsaine pour un professeur, ces sentiments furent néanmoins réciproque. Ils sont restés ensemble encore pendant 1 ans, mais leur différence d’âge et leur statut d’élève/professeur à toujours été un gros problème. Leos n’a jamais voulus s'attacher émotionnellement à une femme c'est ainsi que Dweny à découvert qu'il à entretenue de nombreuses liaisons avec d'autres étudiantes. Monnayant parfois quelques notes contre des nuits de compagnies, à la demande évidemment de ces demoiselles. Alors qu'il s'attachait à elle, Eledwen à rompu toute relation à la lumière de ces nouveaux événements. Gros problème : Eledwen à découvert qu’elle était enceinte peu de temps après leur séparation, mais elle n’ose rien dire. La jeune fille est carriériste, alors même si elle est enceinte de plusieurs semaines elle continue de danser. De son côté, Leos doit se battre entre ses devoirs et ses sentiments qui, avec la surgis de l’aîné des De Balzac, refont surface et bouleversent comme à leurs habitudes tout sur leurs passages.