Mon histoire a débuté le premier août mille-neuf cent quatre-vingt cinq, dans une lointaine contrée prénommée chicago, me dessinant comme un(e) americain. Également d'origine américaines, 28 printemps se sont écoulés depuis, le temps coulant et défilant à une vitesse défiant toute imagination. Je me suis façonné, et je suis désormais apte à assumer une personnalité qui m'est unique, mêlée de qualités qui me subliment, à savoir que je suis charmeur, comique, bon vivant, déterminé, fier, souriant, secret, il n'abandonne jamais, fonceur, joueur., à des défauts qui m'assombrissent, à savoir que je suis orgueilleux,impulsif, jaloux, possessif,don juan, secret. Vous endormir, ou vous faire fantasmer sur un physique que des mots ne pourront véritablement esquisser dans votre esprit, serait vous faire du tort, ainsi je me contenterais de dire que je ressemble  étrangement à sebastian stan. Je suis donc bien un(e) mâle. Vous ne l'aviez deviné ? Ma vie amoureuse est chaotique, mais je sais aujourd'hui m'intéresser aux femmes  et je suis épanoui. D'ailleurs, je suis en célibataire, depuis quelques temps à savoir sept ans, ce qui interfère/bien que ça n'interfère pas dans ma vie professionnelle. Je suis en effet détective privé. En conclusion, et après ce petit retour sur moi-même, je pense être groupe.

Tristan est un faux calme. Il n'est que très peu porté sur la colère à première vue, se réfugiant principalement dans l'humour pour dissimuler ses émotions. C'est un grand indépendant, qui aime réussir par lui-même et se débrouiller, même s'il est toujours comblé à l'idée de se faire aider par ses frères et sœurs dans son métier, principalement Perséphone et Nikolaas dont les boulots sont complémentaires au sien. Très fier, il ne lâche jamais le morceau ou bien une affaire avant d'avoir obtenu ce qu'il veut, et il a la même politique dans sa vie sentimentale et sociable. Il n'abandonne jamais. Doté d'un caractère de merde, il est loin d'être associable, et est un grand charmeur, accumulant les conquêtes et les flirts avec aisance. Se flattant d'adorer les femmes, c'est un parfait gentleman, même s'il a tendance à ne pas s'attacher, probablement en raison de sa première histoire d'amour à l'issu marquante. (cf Skyler) Populaire, c'est un garçon qui a généralement le sourire aux lèvres et le mot pour rire. Cependant, lorsque les limites sont atteintes, il peut parfaitement péter un plomb et ainsi surprendre son entourage.  
- Dans sa petite enfance, son père n'habitait avec lui, sa mère et sa sœur jumelle. Ce n'est que bien plus tard qu'il comprit qu'il avait été marié à une autre femme, et qu'il n'avait pu se résoudre pour vivre avec eux. C'est lorsqu'il atteignit l'âge de huit ans que son père les rejoignit, mais accompagné des enfants qu'il avait eu avec sa première femme, à savoir Nikolaas, Lilwenn et leur sœur aînée.
- Cette dernière est d'ailleurs décédée il y a quelques jours, la veille du retour de mémoire de son frère Nikolaas. Il ne l'a réellement connu qu'après son adolescence, celle-ci ayant été très solitaire et s'étant mariée très vite, mais il était très proche de ses enfants. Une telle disparition l'a profondément choqué également, même s'il a une façon bien à lui de le montrer.

Faux jumeaux, un lien de sang unique. Il la protégeait lorsqu'elle était enfant, elle prenait sa défense, même face au plus grand. Elle a jalousé Nikolaas, le prenant comme rival car il passait la plupart de son temps avec son jumeau lorsqu'ils étaient encore à l'âge de l'innocence, jumeau qu'elle ne voulait qu'on touche, montrant une possessivité face à lui qui s'est effacée petit à petit avec les années. Leur lien n'a fait que se renforcer, ponctué par des chamailleries, des taquineries, des défis lancés à l'un et à l'autre, des projets et un boulot qui les unissaient, lui détective, elle travaillant dans la police, chacun s'entraidant dans les affaires de l'autre, aidé également de leur autre frère qui travaillait également dans ce monde aux uniformes bleus et aux voitures hurlantes. TJ représente tout pour elle, il est son meilleur ami, son alter-ego, son allié, son confident, aucune querelle gravissime n'étant jamais venue entachée cette complicité, cette amitié. Mais elle peut se montrer virulente, même violente si on ose le toucher ou lui faire du mal. Lui serait plus disposé à la rigolade, mais si la souffrance se peint sur le visage de sa jumelle, il peut se montrer sans pitié.

La vie n'est rien sans sociabilité, sans lien, sans famille, sans amour, sans amitié ou bien sans haine. C'est en les partageant et en vivant les affres des émotions, quel qu'elles soient, que l'on apprend à grand et à affronter la vie. Les larmes peuvent rouler, les sourires sont dessinés, des mains jointes, repoussées, un boulot difficile, des parents absents, des frères et sœurs éloignés ou bien trop proches. Nous sommes tous esclaves de ces liens qui régentent notre existence mais sans lesquelles … la vie serait bien fade.

La vie n'est rien sans sociabilité, sans lien, sans famille, sans amour, sans amitié ou bien sans haine. C'est en les partageant et en vivant les affres des émotions, quel qu'elles soient, que l'on apprend à grand et à affronter la vie. Les larmes peuvent rouler, les sourires sont dessinés, des mains jointes, repoussées, un boulot difficile, des parents absents, des frères et sœurs éloignés ou bien trop proches. Nous sommes tous esclaves de ces liens qui régentent notre existence mais sans lesquelles … la vie serait bien fade.

La vie n'est rien sans sociabilité, sans lien, sans famille, sans amour, sans amitié ou bien sans haine. C'est en les partageant et en vivant les affres des émotions, quel qu'elles soient, que l'on apprend à grand et à affronter la vie. Les larmes peuvent rouler, les sourires sont dessinés, des mains jointes, repoussées, un boulot difficile, des parents absents, des frères et sœurs éloignés ou bien trop proches. Nous sommes tous esclaves de ces liens qui régentent notre existence mais sans lesquelles … la vie serait bien fade.